Lors de sa rencontre le 26 février, avec le Président et les membres de l'Assemblée des Experts, le Guide suprême de la Révolution islamique, l'Ayatollah Khamenei, a déclaré que la fidélité du peuple et des responsables du pays, aux valeurs et aux principes du régime islamique, leur courage dans l’expression et leur engagement sur la scène politique, expliquaient la réussite de ce régime, les progrès du pays dans divers secteurs et ses succès dans le domaine nucléaire. L'Ayatollah Khamenei a indiqué que les prochaines élections législatives du 14 mars, étaient importantes et exigeait une participation massive et l'élection de candidats qui apportent la prospérité, la grandeur et l'honneur à la nation iranienne.
Le Leader de la République islamique d'Iran a également loué les efforts et la résistance du Président Mahmoud Ahmadinejad dans la question nucléaire, et a ajouté que la présence vigilante du peuple et l'unité des responsables sur toutes les questions, étaient à l'origine du renforcement du régime islamique. Considérant la République islamique d'Iran comme un modèle unique dans l'élaboration idéologique d'un régime islamique, il a ajouté que la République islamique était une réalité unique, créée à partir des principes et des valeurs de l’Islam, et un nouveau système politique et social, dont les normes étaient différentes des normes mondiales qui ne pouvaient constituer des critères pour un gouvernement islamique. Le Guide suprême a souligné que les assauts culturels de l'ennemi qu’il a qualifiés d’invasion culturelle, ne se limitaient pas aux questions culturelles, mais étaient des outils de l’ennemi pour ses manipulations politiques et économiques. "Un exemple de cette propagande, est la volonté de l'ennemi de diviser le monde politique et l’élite du pays, entre radicaux et modérés", a-t-il ajouté. "L'ennemi tente de diviser les milieux politiques en radicaux et modérés et a annoncé clairement que les pressions sur l'Iran devraient être augmentées pour porter au pouvoir, dans les deux prochaines élections, les modérés ou des gens qui ne sont pas pour le régime islamique ", a-t-il poursuivi. Déclarant que la plupart des gens et des responsables reconnaissaient ce Régime et la Révolution, l’Ayatollah Khamenei a souligné que ces principes devaient être la base de l'unité et de la coopération nationale, et que les membres de la minorité qui ne reconnaissaient pas ce principe, jouissaient en tant que citoyens, comme les autres, de leurs droits publics. |