Lors d’une audience accordée aux professeurs, aux universitaires et aux membres des corps enseignants des universités du pays, le samedi après-midi 4 juillet 2015, le Guide suprême de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, a qualifié d’unique, le rôle des enseignants dans la formation d’une génération laborieuse, croyante et pionnière. « Il faut que les milieux scientifiques restent à l’écart des affaires marginales et secondaires », a souligné le Guide suprême de la Révolution islamique ajoutant que le rythme du progrès scientifique du pays ne devrait ralentir sous aucune condition.
Lors de cette audience qui a duré plus de deux heures, le Guide suprême de la Révolution islamique a entendu les propositions et les points de vue des universitaires ; il a estimé que l’influence et la prégnance naturelle du professeur sur le cœur et l’esprit de l’étudiant étaient une opportunité exceptionnelle. « Profitez de ce lieu immense pour former des jeunes croyants, dotés de l’honneur nationale, motivés, révolutionnaires, laborieux, justes courageux, qui ont confiance en soi et qui ont espoir en l’avenir ; formez des bras puissants pour assurer le progrès du cher Iran. », a prôné le Guide suprême de la Révolution islamique.
Un autre trait saillant nécessaire à la jeune génération, a-t-il souligné, est de rester indépendant vis-à-vis des étrangers, d’avoir une juste conception de la situation du pays et de son itinéraire, et d’être sensible et catégorique face à toute atteinte à l’indépendance du pays. « Il revient aux professeurs de former avec leurs propres méthodes une telle génération », a déclaré le Guide suprême de la Révolution islamique, qui a vu en les professeurs, les commandants de la guerre soft pour dire à leur adresse : à l’instar des commandants des huit années de Défense sacrée, diriger et orienter par une présence concrète sur la scène d’un combat vital et profond, les jeunes autrement dit les officiers de la guerre soft ; ce champ est aussi une « Défense sacrée ».
En appréciant la présence de 70 mille membres de corps enseignants aux universités, le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné : ces professeurs dans leur quasi-totalité sont croyants et pratiquants et ils ont foi en les principes de la Révolution ; ce qui est très important et fait la fierté du pays.
L’Honorable Ayatollah Khamenei a appelé les responsables des ministères « des Sciences, des recherches et de la technologie » et « de la Santé et de l’Enseignement médical » à rendre hommage aux professeurs croyants et révolutionnaires. « Il faut rendre hommage aux éléments qui ne craignent pas la campagne propagandiste sournoise et essentiellement implicite et qui remplissent leurs importantes tâches. », a réitéré le Guide suprême de la Révolution islamique.
L’accès de l’Iran au 16e rang scientifique du monde est le fruit du travail laborieux des 10 et 15 dernières années des universités et des centres scientifiques, a estimé l’Honorable Ayatollah Khamenei et d’ajouter : la vitesse scientifique pleine d’enthousiasme qui a rendu cette gloire à l’Iran s’est ralentie ces jours-ci ; il incombe aux responsables de décupler les efforts pour que ce mouvement de progrès scientifique ne ralentisse pas et s’accélère conformément aux besoins du pays.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a vivement critiqué les éléments qui décélèrent le progrès scientifique en l’occurrence les affaires marginales et les jeux politiques qui pourraient occuper les milieux scientifiques. « Le milieu académique devra être un milieu embelli par l’intelligence politique, la connaissance politique ; or les jeux politiques et les affaires marginales affecteront la tâche principale des universités qui est le progrès scientifique. », a rappelé le Guide suprême de la Révolution islamique, qui a évoqué les tapages autour de l’affaire des boursiers, un exemple de ces jeux politiques au sein des universités, les jugeant l’un des actes les plus erronés de ces dernières années. « Les enquêtes minutieuses montrent que l’affaire des boursiers n’était pas sous la forme qu’elle a été traitée dans la presse ; mais si elle était même comme cela, il fallait que les privilèges que certains avaient obtenus illégalement, soient annulés par des voies légales et non pas de susciter un tel tapage.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a qualifié les jeux politiques de poison affectant les milieux scientifiques et en regrettant le fait que dans l’affaire des boursiers, un certain nombre de personnes ont fait l’objet d’injustice, il a souligné : le venin qu’a distillé cette affaire et injecté aux universités puise son origine dans une pensée basée sur le jeu politique ; malheureusement cela contredisait aussi bien la loi, que la sagesse et l’éthique.
L’Honorable Ayatollah Khamenei a traité dans une autre partie de ses propos, l’impératif que représente le travail assidu des responsables pour évoluer les sciences humaines.
« Cette évolution est nécessaire ; elle a aussi besoin d’une spontanéité endogène de la part des universités et des instances telles que le Haut Conseil de la Révolution culturelle et du Conseil d’évolution des sciences humaines mais aussi d’un soutien hors des appareils concernés », a-t-il précisé.
« La spontanéité endogène existe, grâce à Dieu, il incombe donc aux appareils concernés de rendre opérationnel, le travail théorique qui a été effectué dans le sens de l’évolution des sciences humaines et de réaliser les ratifications du Conseil d’évolution des sciences humaines.
Le quatrième point évoqué dans les propos du Guide suprême de la Révolution islamique consistait à l’intérêt accordé à la part du « budget de recherches dans le budget public du pays ». En allusion à ses nombreux rappels durant les dernières années, à ce sujet et regrettant le fait que la part souhaitée de budget alloué aux recherches n’a pas été réalisée, le Guide suprême de la Révolution islamique a ajouté : le document de la perspective vicennale avait envisagé 4% du budget public aux recherches, alors qu’il n’est pas encore possible de réaliser cette part dans un court délai mais la part de 2% du budget public pour les recherches a été réalisée, d’autant plus que ce budget et les ressources financières du secteur de recherches doivent être dépensés de manière juste et opportune.
L’impératif de « rendre opérationnelle la carte exhaustive scientifique du pays » est un autre point évoqué par le Guide suprême de la Révolution islamique à l’adresse des responsables des études supérieures et des universitaires. L’Honorable Ayatollah Khamenei, en allusion à la confirmation de cette carte exhaustive scientifique par les experts, a estimé que le premier pas franchi vers le fait de rendre opérationnel cet important document est de favoriser le dialogue, et il a précisé : à l’instar du débat sur le « progrès scientifique du pays », qui s’est devenu un dialogue quotidien et qui s’est transformé en un courant scientifique, il est aussi nécessaire à propos de la carte exhaustive scientifique que les professeurs, les directeurs et les étudiants des universités du pays en soient initiés aux détails et que la carte exhaustive scientifique devienne un « dialogue admis ».
Dans ce même contexte, le Guide suprême de la Révolution islamique a évoqué le « document de l’épreuve des enseignements supérieurs » et en réitérant l’impératif de compléter ce document et de le rendre opérationnel, il a souligné : L’aménagement du territoire et d’innovation du pays » signifie l’identification des capacités des universités et des disciplines et la prise de décision à ce sujet ; ensuite de définir les priorités pour les investissements spéciaux dans le sens des progrès fondamentaux à ce propos.
L’Honorable Ayatollah Khamenei a considéré une vision macro-académique à l’augmentation des étudiants au niveau de master et de doctorat, comme un privilège extraordinaire et un des importants terrains de travail du Ministère des Enseignements supérieurs. «A l’appui d’une vision macro, des planifications justes et d’une direction globale, il incombe au Ministère des Enseignements supérieurs d’orienter le fruit du travail des étudiants dans ces niveaux, vers le règlement des problèmes du pays, sinon les ressources et les moyens du pays sont gâchés. », a réitéré le Guide suprême de la Révolution islamique. Il a qualifié d’important le rôle des professeurs et des appareils de la gestion scientifique du pays pour confronter les plans des ennemis. « Les ennemis ne visent pas à travers les sanctions, le nucléaire ou d’autres questions telles que les droits de l’homme et le terrorisme, car ils sont eux-mêmes les principaux centres de formation du terrorisme et le foyer d’anti-droits de l’homme ; ils ont plus pour objectif d’empêcher la nation iranienne d’accéder à la place civilisationnelle qui lui revient dûment ; il est donc nécessaire de poursuivre, en vertu d’une connaissance juste et précise de notre place et de notre situation, le mouvement glorieux de notre pays, d’autant plus que dans ce processus, le rôle des professeurs et des ensembles scientifiques et académiques y est très saillant.
Au début de cette audience, sept personnes parmi les professeurs d’université, les messieurs :
- Mohammad Mahdi Nayebi – professeur à la faculté de génie électrique de l’Université de Technologie de Sharif
- Mohammad Hossein Rajabi Davani – président du Centre des études sur les Hadiths du Velayat à l’Université Imam Hossein – béni soit-il
- Mohammad Qanadi Maraghei – président du Centre de recherches des sciences et de technologie nucléaires et une figure de proue des sciences nucléaires
- Hossein Salimi – professeur à l’Université Allameh Tabatabaï
- Jaafar Hezarjaribi – sociologue et professeur à l’Université Allameh
- Hojatallah Abdolmaleki – professeur à l’Université des sciences islamiques et de l’économie
- Mme le docteur Sadaf Alipour – maître de conférence à l’Université des sciences médicales d’Iran
ont exprimé leurs points de vue.
Les axes les plus importants évoqués sont :
- L’impératif d’accélérer le progrès technologique pour fonctionnaliser les recherches scientifiques et produire de la richesse via la chaîne scientifique
- L’importance de renforcer le secteur privé véritable
- L’impératif d’élaborer la stratégie industrielle du pays
- L’impératif de définir et de stabiliser les principes et les bases théoriques de la pensée de l’Imam et du leadership en tant que principes constants et la feuille de route de la Révolution
- L’impératif de former des experts en matière de la pensée de l’Imam Khomeiny – que son âme repose au paradis- pour contrer la falsification de ses idées
- Expliquer les progrès importants du pays dans l’industrie nucléaire et insister sur l’impératif des recherches et du développement de cette industrie
- L’impératif d’expliquer l’islam chiite, rationnel, architecte de civilisation et enclin au savoir face à l’islam dur et destructeur
- L’impératif de réviser le cursus des sciences humaines dans la perspective des principes optimaux, basés sur les valeurs et censés fonctionnaliser
- L’impératif d’élever le rendement théorique au sein des centres de sciences humaines
- L’impératif de promouvoir les conduites professionnelles et la qualité de l’enseignement dans le pays
- L’insistance sur l’importance des méthodes nouvelles de diagnostiques à l’appui de la technologie moderne
- L’impératif de recrutement des professionnels pour l’application du projet de l’évolution de la santé dans le pays
- L’exploitation de la compétence des élites
- L’exploitation de l’opportunité des sanctions pour couper la dépendance vis-à-vis de la vente du brut
- L’impératif d’accorder une attention toute particulière à l’économie de résistance et aux mesures éducatives et propagandistes dans ce sens.
Lors de cette audience qui a duré plus de deux heures, le Guide suprême de la Révolution islamique a entendu les propositions et les points de vue des universitaires ; il a estimé que l’influence et la prégnance naturelle du professeur sur le cœur et l’esprit de l’étudiant étaient une opportunité exceptionnelle. « Profitez de ce lieu immense pour former des jeunes croyants, dotés de l’honneur nationale, motivés, révolutionnaires, laborieux, justes courageux, qui ont confiance en soi et qui ont espoir en l’avenir ; formez des bras puissants pour assurer le progrès du cher Iran. », a prôné le Guide suprême de la Révolution islamique.
Un autre trait saillant nécessaire à la jeune génération, a-t-il souligné, est de rester indépendant vis-à-vis des étrangers, d’avoir une juste conception de la situation du pays et de son itinéraire, et d’être sensible et catégorique face à toute atteinte à l’indépendance du pays. « Il revient aux professeurs de former avec leurs propres méthodes une telle génération », a déclaré le Guide suprême de la Révolution islamique, qui a vu en les professeurs, les commandants de la guerre soft pour dire à leur adresse : à l’instar des commandants des huit années de Défense sacrée, diriger et orienter par une présence concrète sur la scène d’un combat vital et profond, les jeunes autrement dit les officiers de la guerre soft ; ce champ est aussi une « Défense sacrée ».
En appréciant la présence de 70 mille membres de corps enseignants aux universités, le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné : ces professeurs dans leur quasi-totalité sont croyants et pratiquants et ils ont foi en les principes de la Révolution ; ce qui est très important et fait la fierté du pays.
L’Honorable Ayatollah Khamenei a appelé les responsables des ministères « des Sciences, des recherches et de la technologie » et « de la Santé et de l’Enseignement médical » à rendre hommage aux professeurs croyants et révolutionnaires. « Il faut rendre hommage aux éléments qui ne craignent pas la campagne propagandiste sournoise et essentiellement implicite et qui remplissent leurs importantes tâches. », a réitéré le Guide suprême de la Révolution islamique.
L’accès de l’Iran au 16e rang scientifique du monde est le fruit du travail laborieux des 10 et 15 dernières années des universités et des centres scientifiques, a estimé l’Honorable Ayatollah Khamenei et d’ajouter : la vitesse scientifique pleine d’enthousiasme qui a rendu cette gloire à l’Iran s’est ralentie ces jours-ci ; il incombe aux responsables de décupler les efforts pour que ce mouvement de progrès scientifique ne ralentisse pas et s’accélère conformément aux besoins du pays.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a vivement critiqué les éléments qui décélèrent le progrès scientifique en l’occurrence les affaires marginales et les jeux politiques qui pourraient occuper les milieux scientifiques. « Le milieu académique devra être un milieu embelli par l’intelligence politique, la connaissance politique ; or les jeux politiques et les affaires marginales affecteront la tâche principale des universités qui est le progrès scientifique. », a rappelé le Guide suprême de la Révolution islamique, qui a évoqué les tapages autour de l’affaire des boursiers, un exemple de ces jeux politiques au sein des universités, les jugeant l’un des actes les plus erronés de ces dernières années. « Les enquêtes minutieuses montrent que l’affaire des boursiers n’était pas sous la forme qu’elle a été traitée dans la presse ; mais si elle était même comme cela, il fallait que les privilèges que certains avaient obtenus illégalement, soient annulés par des voies légales et non pas de susciter un tel tapage.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a qualifié les jeux politiques de poison affectant les milieux scientifiques et en regrettant le fait que dans l’affaire des boursiers, un certain nombre de personnes ont fait l’objet d’injustice, il a souligné : le venin qu’a distillé cette affaire et injecté aux universités puise son origine dans une pensée basée sur le jeu politique ; malheureusement cela contredisait aussi bien la loi, que la sagesse et l’éthique.
L’Honorable Ayatollah Khamenei a traité dans une autre partie de ses propos, l’impératif que représente le travail assidu des responsables pour évoluer les sciences humaines.
« Cette évolution est nécessaire ; elle a aussi besoin d’une spontanéité endogène de la part des universités et des instances telles que le Haut Conseil de la Révolution culturelle et du Conseil d’évolution des sciences humaines mais aussi d’un soutien hors des appareils concernés », a-t-il précisé.
« La spontanéité endogène existe, grâce à Dieu, il incombe donc aux appareils concernés de rendre opérationnel, le travail théorique qui a été effectué dans le sens de l’évolution des sciences humaines et de réaliser les ratifications du Conseil d’évolution des sciences humaines.
Le quatrième point évoqué dans les propos du Guide suprême de la Révolution islamique consistait à l’intérêt accordé à la part du « budget de recherches dans le budget public du pays ». En allusion à ses nombreux rappels durant les dernières années, à ce sujet et regrettant le fait que la part souhaitée de budget alloué aux recherches n’a pas été réalisée, le Guide suprême de la Révolution islamique a ajouté : le document de la perspective vicennale avait envisagé 4% du budget public aux recherches, alors qu’il n’est pas encore possible de réaliser cette part dans un court délai mais la part de 2% du budget public pour les recherches a été réalisée, d’autant plus que ce budget et les ressources financières du secteur de recherches doivent être dépensés de manière juste et opportune.
L’impératif de « rendre opérationnelle la carte exhaustive scientifique du pays » est un autre point évoqué par le Guide suprême de la Révolution islamique à l’adresse des responsables des études supérieures et des universitaires. L’Honorable Ayatollah Khamenei, en allusion à la confirmation de cette carte exhaustive scientifique par les experts, a estimé que le premier pas franchi vers le fait de rendre opérationnel cet important document est de favoriser le dialogue, et il a précisé : à l’instar du débat sur le « progrès scientifique du pays », qui s’est devenu un dialogue quotidien et qui s’est transformé en un courant scientifique, il est aussi nécessaire à propos de la carte exhaustive scientifique que les professeurs, les directeurs et les étudiants des universités du pays en soient initiés aux détails et que la carte exhaustive scientifique devienne un « dialogue admis ».
Dans ce même contexte, le Guide suprême de la Révolution islamique a évoqué le « document de l’épreuve des enseignements supérieurs » et en réitérant l’impératif de compléter ce document et de le rendre opérationnel, il a souligné : L’aménagement du territoire et d’innovation du pays » signifie l’identification des capacités des universités et des disciplines et la prise de décision à ce sujet ; ensuite de définir les priorités pour les investissements spéciaux dans le sens des progrès fondamentaux à ce propos.
L’Honorable Ayatollah Khamenei a considéré une vision macro-académique à l’augmentation des étudiants au niveau de master et de doctorat, comme un privilège extraordinaire et un des importants terrains de travail du Ministère des Enseignements supérieurs. «A l’appui d’une vision macro, des planifications justes et d’une direction globale, il incombe au Ministère des Enseignements supérieurs d’orienter le fruit du travail des étudiants dans ces niveaux, vers le règlement des problèmes du pays, sinon les ressources et les moyens du pays sont gâchés. », a réitéré le Guide suprême de la Révolution islamique. Il a qualifié d’important le rôle des professeurs et des appareils de la gestion scientifique du pays pour confronter les plans des ennemis. « Les ennemis ne visent pas à travers les sanctions, le nucléaire ou d’autres questions telles que les droits de l’homme et le terrorisme, car ils sont eux-mêmes les principaux centres de formation du terrorisme et le foyer d’anti-droits de l’homme ; ils ont plus pour objectif d’empêcher la nation iranienne d’accéder à la place civilisationnelle qui lui revient dûment ; il est donc nécessaire de poursuivre, en vertu d’une connaissance juste et précise de notre place et de notre situation, le mouvement glorieux de notre pays, d’autant plus que dans ce processus, le rôle des professeurs et des ensembles scientifiques et académiques y est très saillant.
Au début de cette audience, sept personnes parmi les professeurs d’université, les messieurs :
- Mohammad Mahdi Nayebi – professeur à la faculté de génie électrique de l’Université de Technologie de Sharif
- Mohammad Hossein Rajabi Davani – président du Centre des études sur les Hadiths du Velayat à l’Université Imam Hossein – béni soit-il
- Mohammad Qanadi Maraghei – président du Centre de recherches des sciences et de technologie nucléaires et une figure de proue des sciences nucléaires
- Hossein Salimi – professeur à l’Université Allameh Tabatabaï
- Jaafar Hezarjaribi – sociologue et professeur à l’Université Allameh
- Hojatallah Abdolmaleki – professeur à l’Université des sciences islamiques et de l’économie
- Mme le docteur Sadaf Alipour – maître de conférence à l’Université des sciences médicales d’Iran
ont exprimé leurs points de vue.
Les axes les plus importants évoqués sont :
- L’impératif d’accélérer le progrès technologique pour fonctionnaliser les recherches scientifiques et produire de la richesse via la chaîne scientifique
- L’importance de renforcer le secteur privé véritable
- L’impératif d’élaborer la stratégie industrielle du pays
- L’impératif de définir et de stabiliser les principes et les bases théoriques de la pensée de l’Imam et du leadership en tant que principes constants et la feuille de route de la Révolution
- L’impératif de former des experts en matière de la pensée de l’Imam Khomeiny – que son âme repose au paradis- pour contrer la falsification de ses idées
- Expliquer les progrès importants du pays dans l’industrie nucléaire et insister sur l’impératif des recherches et du développement de cette industrie
- L’impératif d’expliquer l’islam chiite, rationnel, architecte de civilisation et enclin au savoir face à l’islam dur et destructeur
- L’impératif de réviser le cursus des sciences humaines dans la perspective des principes optimaux, basés sur les valeurs et censés fonctionnaliser
- L’impératif d’élever le rendement théorique au sein des centres de sciences humaines
- L’impératif de promouvoir les conduites professionnelles et la qualité de l’enseignement dans le pays
- L’insistance sur l’importance des méthodes nouvelles de diagnostiques à l’appui de la technologie moderne
- L’impératif de recrutement des professionnels pour l’application du projet de l’évolution de la santé dans le pays
- L’exploitation de la compétence des élites
- L’exploitation de l’opportunité des sanctions pour couper la dépendance vis-à-vis de la vente du brut
- L’impératif d’accorder une attention toute particulière à l’économie de résistance et aux mesures éducatives et propagandistes dans ce sens.