Lors d'une rencontre avec le Président afghan, Mohammad Ashraf Ghani, le 19 avril 2015, le Guide suprême de la Révolution islamique a déclaré que la République islamique d'Iran considérait la sécurité et le progrès de l'Afghanistan comme faisant partie de ses propres préoccupations.
Insistant sur l'essor de la coopération entre l'Iran et l'Afghanistan, l'Ayatollah Khamenei a indiqué : « Les Etats-Unis et certains pays de la région ne connaissent pas les capacités de l'Afghanistan et sont contre une coopération entre Téhéran et Kaboul ».
Le Guide suprême a également fait allusion aux relations et aux nombreuses affinités culturelles et historiques entre l'Iran et l'Afghanistan, et a estimé que les oulémas, les intellectuels et les gens de lettre afghans avaient joué un rôle de premier plan dans le développement et la promotion des enseignements islamiques et de la langue persane.
« Outre ses riches ressources humaines et culturelles, l'Afghanistan possède aussi de grandes ressources naturelles. Il faut se servir de ces capacités et de ces affinité pour hausser le niveau des relations bilatérales », a ajouté l'Ayatollah Khamenei qui a évoqué les nombreux progrès de l'Iran sur les plans scientifiques, technologiques, culturels et diplomatiques, qui peuvent être selon lui, une base de coopération entre Téhéran et Kaboul.
«Les questions entre les deux pays comme l'immigration, l'eau, le transport et la sécurité, peuvent toutes être résolues. Il faut les étudier et les résoudre avec sérieux et selon un calendrier précis », a souligné le Guide suprême de la Révolution islamique.
Concernant les centaines de milliers d'immigrés afghans qui font leurs études à différents niveaux en Iran, l'Ayatollah Khamenei a affirmé : « Les Afghans sont talentueux et intelligents, il faut canaliser ces talents dans le bon chemin car l'Afghanistan a besoin de ses citoyens pour la reconstruction du pays ».
Le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné que l'Iran était le domicile des « frères afghans» avant d'évoquer les relations historiques et amicales avec le gouvernement afghan et d'émettre le souhait que le gouvernement et le peuple afghans remportent plus de succès et connaissent plus de puissance.
Durant cette réunion à laquelle assistait le Président iranien, Hassan Rouhani, Monsieur Ghani a déclaré que son pays voulait devenir un point central et retrouver son rôle de carrefour de communications dans la région.
Le président afghan a ajouté que l'Iran et l'Afghanistan étaient confrontés à des menaces communes et jouissaient d'opportunités similaires, avant d'ajouter que la volonté politique de son pays était basée sur la poursuite des relations mutuelles et le renforcement des points communs et positifs entre les deux pays.
Il a aussi loué les efforts de l'Iran dans sa lutte contre le trafic de drogue, et exprimé la volonté de l'Afghanistan de se débarrasser de ce fléau avec la coopération avec l'Iran.
Le président afghan dont c'était la première visite depuis sa prise de fonctions en septembre dernier, est arrivé dimanche à Téhéran à la tête d'une délégation de haut niveau pour une visite de deux jours, et a tenu une réunion et une conférence de presse avec son homologue iranien tôt dans la journée.
Insistant sur l'essor de la coopération entre l'Iran et l'Afghanistan, l'Ayatollah Khamenei a indiqué : « Les Etats-Unis et certains pays de la région ne connaissent pas les capacités de l'Afghanistan et sont contre une coopération entre Téhéran et Kaboul ».
Le Guide suprême a également fait allusion aux relations et aux nombreuses affinités culturelles et historiques entre l'Iran et l'Afghanistan, et a estimé que les oulémas, les intellectuels et les gens de lettre afghans avaient joué un rôle de premier plan dans le développement et la promotion des enseignements islamiques et de la langue persane.
« Outre ses riches ressources humaines et culturelles, l'Afghanistan possède aussi de grandes ressources naturelles. Il faut se servir de ces capacités et de ces affinité pour hausser le niveau des relations bilatérales », a ajouté l'Ayatollah Khamenei qui a évoqué les nombreux progrès de l'Iran sur les plans scientifiques, technologiques, culturels et diplomatiques, qui peuvent être selon lui, une base de coopération entre Téhéran et Kaboul.
«Les questions entre les deux pays comme l'immigration, l'eau, le transport et la sécurité, peuvent toutes être résolues. Il faut les étudier et les résoudre avec sérieux et selon un calendrier précis », a souligné le Guide suprême de la Révolution islamique.
Concernant les centaines de milliers d'immigrés afghans qui font leurs études à différents niveaux en Iran, l'Ayatollah Khamenei a affirmé : « Les Afghans sont talentueux et intelligents, il faut canaliser ces talents dans le bon chemin car l'Afghanistan a besoin de ses citoyens pour la reconstruction du pays ».
Le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné que l'Iran était le domicile des « frères afghans» avant d'évoquer les relations historiques et amicales avec le gouvernement afghan et d'émettre le souhait que le gouvernement et le peuple afghans remportent plus de succès et connaissent plus de puissance.
Durant cette réunion à laquelle assistait le Président iranien, Hassan Rouhani, Monsieur Ghani a déclaré que son pays voulait devenir un point central et retrouver son rôle de carrefour de communications dans la région.
Le président afghan a ajouté que l'Iran et l'Afghanistan étaient confrontés à des menaces communes et jouissaient d'opportunités similaires, avant d'ajouter que la volonté politique de son pays était basée sur la poursuite des relations mutuelles et le renforcement des points communs et positifs entre les deux pays.
Il a aussi loué les efforts de l'Iran dans sa lutte contre le trafic de drogue, et exprimé la volonté de l'Afghanistan de se débarrasser de ce fléau avec la coopération avec l'Iran.
Le président afghan dont c'était la première visite depuis sa prise de fonctions en septembre dernier, est arrivé dimanche à Téhéran à la tête d'une délégation de haut niveau pour une visite de deux jours, et a tenu une réunion et une conférence de presse avec son homologue iranien tôt dans la journée.