lors d'une rencontre avec des milliers d'habitants de la ville de Qom, au seuil de l'anniversaire du soulèvement des habitants de cette ville le 9 janvier 1978, le Guide suprême de la Révolution islamique a précisé que les responsables devaient priver l'ennemi de l'arme des sanctions en s'appuyant sur les forces internes, remplir leurs obligations et s'atteler à la réalisation des idéaux sublimes de la Révolution et du peuple.
« Les sanctions ont créé des problèmes pour le pays mais si l'ennemi exige comme conditions pour les lever, l'abandon de la part de l'Iran de l'islam, de l'indépendance ou du progrès scientifique, certainement la fierté [nationale] d'aucun fonctionnaire ne l'acceptera », a déclaré l'Ayatollah Khamenei.
« L'animosité du front de l'Arrogance à l'encontre du peuple iranien a commencé dès les premiers jours de la victoire de la Révolution islamique et personne ne doit croire que l'ennemi y renoncera. Le seul moyen d'immuniser la République islamique d'Iran face aux sanctions, est de limiter la marge de manœuvre de l'ennemi», a fait remarquer le Guide suprême de la Révolution Islamique en allusion aux sanctions injustes imposées par l'Occident notamment les États-Unis, à l'Iran.
«C'est l'objectif même de l'économie de Résistance dont la réalisation est la tâche principale des responsables de la République islamique. Il est nécessaire d'interrompre notre dépendance aux revenus pétroliers. Les responsables du pays et le gouvernement ne doivent rien attendre des étrangers car reculer d'un seul pas, favoriserait le terrain à l'avancée de l'ennemi. Nous devons agir de sorte que même si l'ennemi ne lève pas les sanctions, aucun coup ne soit infligé au progrès, à la prospérité et au bien-être de la nation », a affirmé le Guide suprême.
L'Ayatollah Khamenei a également critiqué les responsables américains et leur rhétorique sans vergogne lors qu'ils déclarent que les sanctions contre l'Iran ne seront pas levées en une seule fois ni dans leur totalité même si Téhéran accepte de faire des concessions dans son programme nucléaire.
Le Guide suprême a dit qu'il n'était pas opposé à la poursuite des négociations nucléaires entre l'Iran et les six puissances mondiales, mais qu'il croyait qu'il fallait se fier à de vrais espoirs et non à des promesses vides.
« Les sanctions ont créé des problèmes pour le pays mais si l'ennemi exige comme conditions pour les lever, l'abandon de la part de l'Iran de l'islam, de l'indépendance ou du progrès scientifique, certainement la fierté [nationale] d'aucun fonctionnaire ne l'acceptera », a déclaré l'Ayatollah Khamenei.
« L'animosité du front de l'Arrogance à l'encontre du peuple iranien a commencé dès les premiers jours de la victoire de la Révolution islamique et personne ne doit croire que l'ennemi y renoncera. Le seul moyen d'immuniser la République islamique d'Iran face aux sanctions, est de limiter la marge de manœuvre de l'ennemi», a fait remarquer le Guide suprême de la Révolution Islamique en allusion aux sanctions injustes imposées par l'Occident notamment les États-Unis, à l'Iran.
«C'est l'objectif même de l'économie de Résistance dont la réalisation est la tâche principale des responsables de la République islamique. Il est nécessaire d'interrompre notre dépendance aux revenus pétroliers. Les responsables du pays et le gouvernement ne doivent rien attendre des étrangers car reculer d'un seul pas, favoriserait le terrain à l'avancée de l'ennemi. Nous devons agir de sorte que même si l'ennemi ne lève pas les sanctions, aucun coup ne soit infligé au progrès, à la prospérité et au bien-être de la nation », a affirmé le Guide suprême.
L'Ayatollah Khamenei a également critiqué les responsables américains et leur rhétorique sans vergogne lors qu'ils déclarent que les sanctions contre l'Iran ne seront pas levées en une seule fois ni dans leur totalité même si Téhéran accepte de faire des concessions dans son programme nucléaire.
Le Guide suprême a dit qu'il n'était pas opposé à la poursuite des négociations nucléaires entre l'Iran et les six puissances mondiales, mais qu'il croyait qu'il fallait se fier à de vrais espoirs et non à des promesses vides.