Le Guide suprême de la Révolution islamique a reçu dans la matinée du 7 mai 2014, des milliers d'enseignants et a déclaré que l'enseignement de la science, l'encouragement à la réflexion et l'apprentissage du bon comportement et de la morale, étaient les trois principaux éléments de la vocation noble et glorieuse de l'enseignement.
Au cours de cette rencontre, l'Ayatollah Khamenei a souligné l'importance du soutien de tous les responsables du pays à l'Éducation nationale qui est chargée de former les générations futures, pour accélérer le processus de progrès national, tant sur le plan matériel que spirituel.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a ensuite mis en garde contre la superficialité dans le domaine de l'éducation, rappelant aux enseignants l'importance de leurs responsabilités dans la formation d'une société exemplaire et d'un modèle de progrès matériel et de perfection spirituelle à l'ombre de l'Islam et du Saint Coran.
Mettant l'accent sur l'importance des programmes d'application du document sur l'évolution de l'éducation, il a ajouté : « Soutenir cet immense secteur est un investissement efficace pour assurer un brillant avenir aux enfants et un progrès matériel et spirituel accéléré pour l'Iran. »
Le Guide Suprême de la Révolution islamique a qualifié de « poison pour l'éducation» les considérations pour les courants politiques, les fractions et les partis, indiquant : « Malheureusement, cette vision est devenue dominante à une certaine époque et a infligé de grands dégâts au pays».
Le Leader de la Révolution a déclaré que la réunion avait pour objectif la manifestation du respect envers les enseignants qui devait se généraliser et s'institutionnaliser dans la société, comme le recommandent les enseignements islamiques.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a réaffirmé : « Enseigner des connaissances et un savoir-faire est une responsabilité importante, mais encore plus important est d'apprendre aux enfants et aux adolescents à réfléchir».
Le Guide Suprême a estimé qu'une vision et une éducation superficielles paralysaient la société, ajoutant : « Si un élève apprend comment penser et bien réfléchir, l'avenir du pays sera fondé sur la pensée et la logique, par conséquent, les chers professeurs ont une lourde responsabilité dans ce domaine».
Il a ajouté que l'enseignement pratique du bon comportement et de la morale était la troisième dimension de la noble vocation de l'enseignement, soulignant : « La réalisation des objectifs et des idéaux de la nation nécessite des hommes patients, logiques, croyants, innovateurs, patients, courageux, vertueux, polis et assidus, et l'enseignant joue un rôle de premier plan, profond et durable dans ce domaine ».
L'Ayatollah Khamenei a appelé les responsables de l'éducation à prêter une attention sérieuse à l'application du plan d'évolution du système éducatif ajoutant : « La mise en œuvre de ce plan fondamental et utile nécessite une feuille de route pratique. Cette feuille de route doit être préparée et mise en œuvre, étape par étape, en collaboration avec le Conseil suprême de la Révolution culturelle ».
Qualifiant la formation de la main d'œuvre « d'importante mission » du ministère de l'éducation, l'Ayatollah Khamenei a ajouté : « Ce ministère est directement ou indirectement en relation avec des millions de personnes, par conséquent, ses directeurs doivent avoir les qualités requises ».
S'adressant aux responsables et directeurs concernés, l'Ayatollah Khamenei a déclaré : « Votre priorité doit être la formation de jeunes, révolutionnaires, religieux, enthousiastes, motivés et diligents, et vous devez faire attention que la réalisation des objectifs du système éducatif soit la seule question sur laquelle les fonctionnaires et les responsables de cette organisation concentrent leurs efforts».
Le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné que toutes les organisations en particulier les organisations gouvernementales chargées du budget, devaient soutenir le système éducatif : «Plus nous investirons dans le système éducatif, meilleurs seront les résultats car cette organisation est la racine et la base de toutes les réalisations, à notre époque et dans l'avenir», a-t-il dit.
L'Ayatollah Khamenei a insisté sur l'attention aux manuels scolaires ajoutant : « Les manuels scolaires doivent être bien fondés et rassurants, ne doivent contenir aucune faiblesse ni déviation politique ou religieuse, et ne doivent pas déformer la vérité. Par conséquent, les responsables de la préparation des manuels doivent s'acquitter de leurs responsabilités avec précision et fiabilité ».
L'Imam Khamenei a rappelé deux points aux responsables de l'éducation nationale : l'intérêt pour la formation des professeurs et le rôle important du département de l'éducation au niveau de la formation des directeurs et des responsables du ministère.
Honorant la mémoire du professeur Motahari dont la date du martyre est dénommée en Iran comme « la Journée des enseignants », le Guide Suprême de la Révolution islamique a ajouté : « Rajaï et Bahonar étaient aussi deux professeurs dévoués et sincères, qui ont passé leur vie au service de l'éducation. »
Au cours de cette rencontre, l'Ayatollah Khamenei a souligné l'importance du soutien de tous les responsables du pays à l'Éducation nationale qui est chargée de former les générations futures, pour accélérer le processus de progrès national, tant sur le plan matériel que spirituel.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a ensuite mis en garde contre la superficialité dans le domaine de l'éducation, rappelant aux enseignants l'importance de leurs responsabilités dans la formation d'une société exemplaire et d'un modèle de progrès matériel et de perfection spirituelle à l'ombre de l'Islam et du Saint Coran.
Mettant l'accent sur l'importance des programmes d'application du document sur l'évolution de l'éducation, il a ajouté : « Soutenir cet immense secteur est un investissement efficace pour assurer un brillant avenir aux enfants et un progrès matériel et spirituel accéléré pour l'Iran. »
Le Guide Suprême de la Révolution islamique a qualifié de « poison pour l'éducation» les considérations pour les courants politiques, les fractions et les partis, indiquant : « Malheureusement, cette vision est devenue dominante à une certaine époque et a infligé de grands dégâts au pays».
Le Leader de la Révolution a déclaré que la réunion avait pour objectif la manifestation du respect envers les enseignants qui devait se généraliser et s'institutionnaliser dans la société, comme le recommandent les enseignements islamiques.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a réaffirmé : « Enseigner des connaissances et un savoir-faire est une responsabilité importante, mais encore plus important est d'apprendre aux enfants et aux adolescents à réfléchir».
Le Guide Suprême a estimé qu'une vision et une éducation superficielles paralysaient la société, ajoutant : « Si un élève apprend comment penser et bien réfléchir, l'avenir du pays sera fondé sur la pensée et la logique, par conséquent, les chers professeurs ont une lourde responsabilité dans ce domaine».
Il a ajouté que l'enseignement pratique du bon comportement et de la morale était la troisième dimension de la noble vocation de l'enseignement, soulignant : « La réalisation des objectifs et des idéaux de la nation nécessite des hommes patients, logiques, croyants, innovateurs, patients, courageux, vertueux, polis et assidus, et l'enseignant joue un rôle de premier plan, profond et durable dans ce domaine ».
L'Ayatollah Khamenei a appelé les responsables de l'éducation à prêter une attention sérieuse à l'application du plan d'évolution du système éducatif ajoutant : « La mise en œuvre de ce plan fondamental et utile nécessite une feuille de route pratique. Cette feuille de route doit être préparée et mise en œuvre, étape par étape, en collaboration avec le Conseil suprême de la Révolution culturelle ».
Qualifiant la formation de la main d'œuvre « d'importante mission » du ministère de l'éducation, l'Ayatollah Khamenei a ajouté : « Ce ministère est directement ou indirectement en relation avec des millions de personnes, par conséquent, ses directeurs doivent avoir les qualités requises ».
S'adressant aux responsables et directeurs concernés, l'Ayatollah Khamenei a déclaré : « Votre priorité doit être la formation de jeunes, révolutionnaires, religieux, enthousiastes, motivés et diligents, et vous devez faire attention que la réalisation des objectifs du système éducatif soit la seule question sur laquelle les fonctionnaires et les responsables de cette organisation concentrent leurs efforts».
Le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné que toutes les organisations en particulier les organisations gouvernementales chargées du budget, devaient soutenir le système éducatif : «Plus nous investirons dans le système éducatif, meilleurs seront les résultats car cette organisation est la racine et la base de toutes les réalisations, à notre époque et dans l'avenir», a-t-il dit.
L'Ayatollah Khamenei a insisté sur l'attention aux manuels scolaires ajoutant : « Les manuels scolaires doivent être bien fondés et rassurants, ne doivent contenir aucune faiblesse ni déviation politique ou religieuse, et ne doivent pas déformer la vérité. Par conséquent, les responsables de la préparation des manuels doivent s'acquitter de leurs responsabilités avec précision et fiabilité ».
L'Imam Khamenei a rappelé deux points aux responsables de l'éducation nationale : l'intérêt pour la formation des professeurs et le rôle important du département de l'éducation au niveau de la formation des directeurs et des responsables du ministère.
Honorant la mémoire du professeur Motahari dont la date du martyre est dénommée en Iran comme « la Journée des enseignants », le Guide Suprême de la Révolution islamique a ajouté : « Rajaï et Bahonar étaient aussi deux professeurs dévoués et sincères, qui ont passé leur vie au service de l'éducation. »