L'Ayatollah Khamenei a demandé la création d'un centre chargé des questions relatives à la femme et à la famille, indépendant des trois pouvoirs. « S'abstenir de se référer aux pensées erronées, artificielles et rétrogrades occidentales dans les questions féminines et s'appuyer sur les textes et les enseignements purs de l'Islam, sont deux facteurs essentiels et stratégiques pour utiliser correctement les grandes capacités des femmes », a souligné le 19 avril 2014, le Guide suprême de la Révolution islamique, l'Ayatollah Khamenei, lors d'une audience accordée à des centaines d'intellectuelles iraniennes qu'il a félicitées à l'occasion de la bienheureuse naissance de la fille du noble Prophète de l'Islam, la vénérée Fatima Zahra (bénie soit-elle).
« Nous devons avoir un regard nouveau sur la vénérée Fatemeh (AS), sa vie, ses qualités, sa morale, sa pureté, son combat, sa vie familiale et conjugale, et sa présence dans les grands évènements politiques, et la considérer comme le modèle à suivre », a fait remarquer le Guide suprême pour qui l'existence des intellectuelles iraniennes « est une bénédiction divine et une source de fierté pour la République islamique d'Iran ».
« La présence de tant de femmes instruites et exceptionnelles est sans précédent dans l'Histoire de l'Iran et nous la devons aux idées d'avant-garde du leader de la Révolution. La patience et la résistance des épouses et des mères des combattants, des martyrs et des blessés iraniens pendant la défense sacrée, ont été un autre point saillant et remarquable », a-t-il ajouté.
L'Ayatollah Khamenei a ensuite abordé la question de la femme dans le monde.
« Nous devons voir comment nous pouvons profiter de ces grandes possibilités de façon saine et juste, et des qualités des femmes dans le domaine affectif, pour le progrès et non pour la corruption de la société humaine, en tenant compte des différences naturelles entre les hommes et les femmes, pour empêcher l'oppression des femmes dans la famille et dans la société. La femme et la famille sont deux choses inséparables, penser le contraire conduit à des problèmes dans la résolution des problèmes féminins. Le centre dont j'ai parlé devra éviter toutes les idées erronées occidentales que les Occidentaux veulent imposer au monde, sans permettre à personne de donner son avis. Si nous voulons porter un regard sain et rationnel, nous devons prendre nos distances vis-à-vis des pensées occidentales, en ce qui concerne les questions comme celle de la profession et de la parité sexuelle. Bien entendu, il faut avoir des informations précises sur ces idées occidentales mais il est nécessaire de rejeter ces vielles idées qui se présentent comme de nouvelles idées et ces pensées "obsolètes d'apparence moderne" et "perfides mais apparemment soucieuses", car de telles pensées ne peuvent absolument pas conduire ou mener les sociétés humaines à la prospérité et au bonheur. La vision matérialiste et athéiste de l'existence et du monde est à l'origine de toutes les déviations des pensées et du regard que porte l'Occident sur la femme. Le regard mercantile sur les capacités des femmes dans les domaines économiques notamment l'engagement professionnel, ainsi que le regard humiliant porté sur la femme considérée comme un objet pour satisfaire les désirs des hommes, sont à l'origine des pensées rétrogrades de l'Occident et de l'oppression des femmes dans ces pays. Dans certaines questions comme celle de la spiritualité, il n'y a aucune différence entre l'homme et la femme, seuls les cadres sont différents. Cette réalité à côté des points communs, entrainent des différences dans les différents domaines », a précisé le Guide suprême mettant l'accent sur le regard humain que porte l'Islam sur la femme.
Il a précisé à ce propos que « la similarité de l'homme et de la femme » était une autre pensée erronée de l'Occident et n'était pas toujours porteuse de justice.
« La justice est toujours défendable tandis que cette similarité est tantôt « vraie » et tantôt « fausse ». L'obstination des Occidentaux sur cette conception erronée a nui à la société humaine, c'est pourquoi il faut prendre ses distances vis-à-vis d'elle pour parvenir à un regard correct et équilibré. Il est donc nécessaire de nous référer aux textes islamiques extraits du Coran et des hadiths. Dans les questions relatives aux femmes, il faut éviter les questions secondaires. La question de l'emploi des femmes en est une, alors que la question de la famille et en particulier celle de la sécurité et de la santé des femmes dans la famille, sont des questions essentielles. Il faut définir tout ce qui peut nuire à ce sentiment de sécurité et régler ces questions par le biais de la loi», a-t-il dit.
À cet égard, l'Ayatollah Khamenei a regretté que dans la vision moderne et ancienne, la femme était malheureusement considérée comme un être de second degré et une servante.
«Cela est totalement opposé à l'islam et aux règles de jurisprudence à son égard. Il y a des gens qui prennent ce que l'islam dit et ajoutent ce que l'occident dit, cela n'est pas acceptable. Contrairement à ce que pensent certains, le métier n'est pas une question primordiale pour les femmes bien qu'avoir un métier n'est pas un problème tant que cela ne nuit pas à la famille. Si certaines branches universitaires ne sont pas ouvertes aux femmes comme les autres branches, ce n'est pas une injustice car nous ne devons pas imposer aux femmes des métiers qui sont incompatibles avec leur nature. Ce n'est pas une honte que les femmes ne pratiquent pas certains métiers qui sont en contradiction avec la nature que Dieu leur a donnée. Les femmes instruites sont les mieux placées pour régler les problèmes des femmes dans la société et nous espérons qu'elles déploieront tous leurs efforts dans ce domaine », a-t-il déclaré.
« Nous devons avoir un regard nouveau sur la vénérée Fatemeh (AS), sa vie, ses qualités, sa morale, sa pureté, son combat, sa vie familiale et conjugale, et sa présence dans les grands évènements politiques, et la considérer comme le modèle à suivre », a fait remarquer le Guide suprême pour qui l'existence des intellectuelles iraniennes « est une bénédiction divine et une source de fierté pour la République islamique d'Iran ».
« La présence de tant de femmes instruites et exceptionnelles est sans précédent dans l'Histoire de l'Iran et nous la devons aux idées d'avant-garde du leader de la Révolution. La patience et la résistance des épouses et des mères des combattants, des martyrs et des blessés iraniens pendant la défense sacrée, ont été un autre point saillant et remarquable », a-t-il ajouté.
L'Ayatollah Khamenei a ensuite abordé la question de la femme dans le monde.
« Nous devons voir comment nous pouvons profiter de ces grandes possibilités de façon saine et juste, et des qualités des femmes dans le domaine affectif, pour le progrès et non pour la corruption de la société humaine, en tenant compte des différences naturelles entre les hommes et les femmes, pour empêcher l'oppression des femmes dans la famille et dans la société. La femme et la famille sont deux choses inséparables, penser le contraire conduit à des problèmes dans la résolution des problèmes féminins. Le centre dont j'ai parlé devra éviter toutes les idées erronées occidentales que les Occidentaux veulent imposer au monde, sans permettre à personne de donner son avis. Si nous voulons porter un regard sain et rationnel, nous devons prendre nos distances vis-à-vis des pensées occidentales, en ce qui concerne les questions comme celle de la profession et de la parité sexuelle. Bien entendu, il faut avoir des informations précises sur ces idées occidentales mais il est nécessaire de rejeter ces vielles idées qui se présentent comme de nouvelles idées et ces pensées "obsolètes d'apparence moderne" et "perfides mais apparemment soucieuses", car de telles pensées ne peuvent absolument pas conduire ou mener les sociétés humaines à la prospérité et au bonheur. La vision matérialiste et athéiste de l'existence et du monde est à l'origine de toutes les déviations des pensées et du regard que porte l'Occident sur la femme. Le regard mercantile sur les capacités des femmes dans les domaines économiques notamment l'engagement professionnel, ainsi que le regard humiliant porté sur la femme considérée comme un objet pour satisfaire les désirs des hommes, sont à l'origine des pensées rétrogrades de l'Occident et de l'oppression des femmes dans ces pays. Dans certaines questions comme celle de la spiritualité, il n'y a aucune différence entre l'homme et la femme, seuls les cadres sont différents. Cette réalité à côté des points communs, entrainent des différences dans les différents domaines », a précisé le Guide suprême mettant l'accent sur le regard humain que porte l'Islam sur la femme.
Il a précisé à ce propos que « la similarité de l'homme et de la femme » était une autre pensée erronée de l'Occident et n'était pas toujours porteuse de justice.
« La justice est toujours défendable tandis que cette similarité est tantôt « vraie » et tantôt « fausse ». L'obstination des Occidentaux sur cette conception erronée a nui à la société humaine, c'est pourquoi il faut prendre ses distances vis-à-vis d'elle pour parvenir à un regard correct et équilibré. Il est donc nécessaire de nous référer aux textes islamiques extraits du Coran et des hadiths. Dans les questions relatives aux femmes, il faut éviter les questions secondaires. La question de l'emploi des femmes en est une, alors que la question de la famille et en particulier celle de la sécurité et de la santé des femmes dans la famille, sont des questions essentielles. Il faut définir tout ce qui peut nuire à ce sentiment de sécurité et régler ces questions par le biais de la loi», a-t-il dit.
À cet égard, l'Ayatollah Khamenei a regretté que dans la vision moderne et ancienne, la femme était malheureusement considérée comme un être de second degré et une servante.
«Cela est totalement opposé à l'islam et aux règles de jurisprudence à son égard. Il y a des gens qui prennent ce que l'islam dit et ajoutent ce que l'occident dit, cela n'est pas acceptable. Contrairement à ce que pensent certains, le métier n'est pas une question primordiale pour les femmes bien qu'avoir un métier n'est pas un problème tant que cela ne nuit pas à la famille. Si certaines branches universitaires ne sont pas ouvertes aux femmes comme les autres branches, ce n'est pas une injustice car nous ne devons pas imposer aux femmes des métiers qui sont incompatibles avec leur nature. Ce n'est pas une honte que les femmes ne pratiquent pas certains métiers qui sont en contradiction avec la nature que Dieu leur a donnée. Les femmes instruites sont les mieux placées pour régler les problèmes des femmes dans la société et nous espérons qu'elles déploieront tous leurs efforts dans ce domaine », a-t-il déclaré.