Le Guide suprême de la Révolution islamique, l'Ayatollah Khamenei, a souligné dans ses propos à l'occasion de la Journée nationale de la technologie nucléaire, que les progrès nucléaires réalisés par l'Iran sont les principaux facteurs du renforcement de la confiance nationale et prépareront le terrain à d'autres progrès scientifiques.
« Si le savoir-faire nucléaire est utilisé pour la production d'énergie, dans l'industrie, la santé, l'agriculture, la sécurité alimentaire et le commerce, son plus important avantage est qu'il renforce la confiance en soi nationale en Iran », a affirmé le 9 avril 2014 l'Ayatollah Khamenei lors d'une audience accordée aux directeurs, spécialistes et experts de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique.
« L'objectif de l'accord suite aux négociations entre l'Iran et les 5+1, était de briser l'hostilité de l'Arrogance envers l'Iran », a affirmé le Guide suprême précisant que le mouvement scientifique nucléaire ne devait pas s'arrêter ni même ralentir, et que les relations de l'Agence Internationale de l'Énergie Atomique (AIEA) avec l'Iran devaient être conformes aux réglements conventionnels.
Son excellence a souligné la nécessité de poursuivre les négociations avec les puissances mondiales « seulement sur la question nucléaire », et a souligné que « les négociateurs iraniens ne devaient accepter aucune pression de la part de l'autre partie».
L'Ayatollah Khamenei a souligné la détermination de l'Iran à poursuivre les discussions avec les puissances mondiales mais a souligné que le pays ne mettra pas fin à ses programmes de recherche et de développement nucléaire.
« Les négociations ne signifient pas que la République islamique d'Iran abandonnera son mouvement nucléaire scientifique et les négociateurs iraniens doivent insister sur la poursuite de la recherche et des développements nucléaires (dans leurs négociations avec les puissances mondiales). Aucune des réalisations nucléaires de l'Iran ne peut être arrêtée. Personne n'a le droit de faire des concessions dans ce domaine et personne ne le fera », a déclaré le leader appelant les experts et les responsables de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran (OIEA) à poursuivre leurs progrès avec sérieux et puissance.
L'Ayatollah Khamenei a mis l'accent sur la poursuite des négociations nucléaires et a déclaré que du point de vue religieux, logique et politique, l'Iran rejetait clairement les armes nucléaires.
« Les autorités américaines sont bien conscientes de cette réalité et savent que la politique absolue de la République islamique d'Iran prohibe par principe, l'arme nucléaire. Cependant les États-Unis tentent par tous les moyens, de susciter un climat international hostile à l'Iran », a fait remarquer le Guide suprême de la Révolution islamique.
L'Ayatollah Khamenei a aussi rejeté les revendications de l'Occident et le fait que leur différend avec l'Iran et les sanctions contre ce pays proviennent uniquement des activités nucléaires de Téhéran ajoutant : « Si la question nucléaire n'existait pas ils trouveraient d'autres prétextes comme c'est le cas actuellement, quand au cours des négociations, les Américains ont soulevé des questions relatives aux droits de l'homme. Si cette question était réglée, ils chercheraient encore d'autres excuses ».
« Si le savoir-faire nucléaire est utilisé pour la production d'énergie, dans l'industrie, la santé, l'agriculture, la sécurité alimentaire et le commerce, son plus important avantage est qu'il renforce la confiance en soi nationale en Iran », a affirmé le 9 avril 2014 l'Ayatollah Khamenei lors d'une audience accordée aux directeurs, spécialistes et experts de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique.
« L'objectif de l'accord suite aux négociations entre l'Iran et les 5+1, était de briser l'hostilité de l'Arrogance envers l'Iran », a affirmé le Guide suprême précisant que le mouvement scientifique nucléaire ne devait pas s'arrêter ni même ralentir, et que les relations de l'Agence Internationale de l'Énergie Atomique (AIEA) avec l'Iran devaient être conformes aux réglements conventionnels.
Son excellence a souligné la nécessité de poursuivre les négociations avec les puissances mondiales « seulement sur la question nucléaire », et a souligné que « les négociateurs iraniens ne devaient accepter aucune pression de la part de l'autre partie».
L'Ayatollah Khamenei a souligné la détermination de l'Iran à poursuivre les discussions avec les puissances mondiales mais a souligné que le pays ne mettra pas fin à ses programmes de recherche et de développement nucléaire.
« Les négociations ne signifient pas que la République islamique d'Iran abandonnera son mouvement nucléaire scientifique et les négociateurs iraniens doivent insister sur la poursuite de la recherche et des développements nucléaires (dans leurs négociations avec les puissances mondiales). Aucune des réalisations nucléaires de l'Iran ne peut être arrêtée. Personne n'a le droit de faire des concessions dans ce domaine et personne ne le fera », a déclaré le leader appelant les experts et les responsables de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran (OIEA) à poursuivre leurs progrès avec sérieux et puissance.
L'Ayatollah Khamenei a mis l'accent sur la poursuite des négociations nucléaires et a déclaré que du point de vue religieux, logique et politique, l'Iran rejetait clairement les armes nucléaires.
« Les autorités américaines sont bien conscientes de cette réalité et savent que la politique absolue de la République islamique d'Iran prohibe par principe, l'arme nucléaire. Cependant les États-Unis tentent par tous les moyens, de susciter un climat international hostile à l'Iran », a fait remarquer le Guide suprême de la Révolution islamique.
L'Ayatollah Khamenei a aussi rejeté les revendications de l'Occident et le fait que leur différend avec l'Iran et les sanctions contre ce pays proviennent uniquement des activités nucléaires de Téhéran ajoutant : « Si la question nucléaire n'existait pas ils trouveraient d'autres prétextes comme c'est le cas actuellement, quand au cours des négociations, les Américains ont soulevé des questions relatives aux droits de l'homme. Si cette question était réglée, ils chercheraient encore d'autres excuses ».