« Les étudiants, croyants et courageux, qui ont conquis le 13 aban 1358 [4 novembre 1979], l'ambassade américaine à Téhéran, ont dénoncé sa véritable nature. C'était en réalité, un nid d'espions », a affirmé l'ayatollah Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique. « Le 13 aban 1358, les jeunes Iraniens ont changé le nom de l'ambassade américaine à Téhéran en la nommant « nid d'espions » et aujourd'hui, après trois décennies, les ambassades américaines dans les pays européens qui sont les partenaires des États-Unis, sont aussi appelées nids d'espions, ce qui montre que les jeunes Iraniens étaient en avance de plus de 30 ans, sur le calendrier de l'Histoire », a ajouté l'Ayatollah Khamenei, le 3 novembre2013 au seuil de la Journée nationale de lutte contre l'Arrogance mondiale, lors d'une audience accordée à des milliers d'étudiants et de jeunes enthousiastes.
Au début de son discours, le Guide suprême a abordé les événements historiques du 4 novembre 1964. « L'Envoi de l'Imam Khomeiny en exil à cause de son discours prononcé contre le projet de capitulation qui exemptait les conseillers et les militaires américains d'être jugés par la cour iranienne, le massacre des étudiants par les forces du régime du dictateur soutenu par les USA en 1979, et la répression des étudiants qui mena à la prise de l' ambassade américaine en 1979, sont tous liés aux États-Unis d'une manière ou d'une autre, et c'est pour cette raison que le 4 novembre a été appelé la Journée nationale de lutte contre l'Arrogance mondiale. Avec sa révolution, le peuple iranien a fait face à l'hégémonie américaine et après la victoire la Révolution islamique, a expulsé les arrogants qui se trouvaient à l'intérieur du pays, et contrairement à certains pays, n'a pas laissé inachevé ce mouvement. L'approche hégémonique des États-Unis est à l'origine de la méfiance et de la colère des nations, et l'expérience a montré que tout peuple ou gouvernement qui fait confiance aux États-Unis, reçoit des coups irréparables », a indiqué le Guide suprême affirmant que l'administration américaine est une administration hégémonique qui considère de son droit de s'ingérer dans les affaires intérieures des autres pays.
Le Guide suprême a également souligné certaines questions d'actualité importantes liées aux États-Unis, soutenant l'équipe iranienne qui poursuit les négociations avec les 5+1 (les membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies - la Russie, la Chine, la France, les États-Unis et le Royaume-Uni - plus l'Allemagne) en ces termes : « Ce sont des enfants de la Révolution et les représentants de la Révolution islamique qui sont en train de remplir leur mission. Personne ne doit les affaiblir, les outrager ou les qualifier de collaborateurs. Les négociations avec les 5+1 ne portent que sur le nucléaire. Grâce à Dieu, ces négociations ne nous portent pas préjudice par contre, c'est une expérience pour le peuple iranien qui comme celle de la suspension des activités d'enrichissement d'uranium en 2003 et 2004, a accru la perspicacité et les capacités d'analyse du peuple. »
L'Ayatollah Khamenei a également évoqué ces années d'expérience nationale et déclaré « Il y a dix ans, lors des négociations avec les Européens, nous avons accepté une suspension temporaire qui en réalité, nous a été imposée avec des concessions évidentes. Toutefois, après deux ans de suspension, nous sommes tous arrivés à la conclusion que cette coopération de notre part, ne donnait aucun espoir d'une coopération du côté occidental ».
« Si nous n'avions pas agi de sorte, il était possible que certains disent que si l'Iran avait cédé une fois au moins, les problèmes auraient été résolus et les Occidentaux se seraient réconciliés avec notre programme nucléaire, mais la suspension temporaire a révélé à tout le monde, que nos partenaires étaient à la recherche d'autres objectifs. Par conséquent, nous avons repris le programme et progressé dans ce domaine », a-t-il ajouté.
Le Guide suprême a estimé que la position nucléaire de l'Iran différait radicalement de celle de la décennie précédente et a accordé un appui sérieux et solide aux responsables des négociations avec les États-Unis, soulignant toutefois qu'il n'était pas optimiste au sujet des récents pourparlers car il n'est pas clair qu'ils garantissaient que les objectifs de la nation iranienne soient atteints. « Nous croyons pourtant que cette expérience ne pose pas de problèmes à condition que notre nation soit attentive et comprenne ce qui se passe réellement ».
Le Guide suprême a reproché à certains éléments « leur propagande naïve ou tendancieuse » et a ajouté que « certains s'alignent sur les médias étrangers, tentent de tromper le public et de faire croire que si nous acceptons certains compromis dans la question nucléaire, tous les problèmes économiques et d'autres problèmes seront résolus ».
Pour prouver la fausseté de cette idée, le Guide suprême a demandé : «Est-ce que la question nucléaire existait au début de la Révolution, quand les États-Unis ont lancé leur programme de sanctions contre l'Iran ? Quand ils ont abattu notre avion avec ses 290 passagers au-dessus du Golfe Persique, était-ce à cause de la question nucléaire ? Quand ils ont lancé un coup d'État dans la base militaire de Nojeh, avaient-ils la question nucléaire comme prétexte ? Et quand ils ont politiquement et logistiquement soutenu les groupuscules d'opposition après la victoire de la Révolution, était-il question des activités nucléaires de l'Iran ? »
Le Guide suprême a signalé que les réponses à toutes ces questions étaient négatives. « La question nucléaire n'est rien de plus qu'un prétexte et si l'on suppose qu'un jour, le problème serait résolu grâce à nos concessions, ils trouveraient d'autres prétextes pour reprendre leurs hostilités comme la technologie des missiles, l'hostilité de l'Iran au régime sioniste et son soutien au front de la Résistance. L'hostilité américaine envers l'Iran vient du fait que la République islamique a rejeté leurs demandes et que nous croyions que les États-Unis ne peuvent rien faire contre nous. Les États-Unis sont opposés à l'existence de la République islamique d'Iran et à l'influence, au prestige et à la puissance du gouvernement démocratiquement élu en Iran. Comme l'a explicitement indiqué un de leurs hommes politiques récemment, l'Iran, qu'il soit atomique ou pas, est une menace car il est influent et puissant, et selon leurs propres termes, jouit d'une autorité dans la région», a-t-il dit.
Le Guide suprême a soutenu que la question nucléaire était un prétexte et que les États-Unis ne mettraient fin à leur hostilité envers l'Iran que lorsque la nation iranienne deviendra une nation isolée, discréditée et déshonorée.
Dans une autre partie de son discours, l'Ayatollah Khamenei a attiré l'attention du peuple et des responsables sur le fait que depuis la Révolution, l'Iran ne s'est jamais senti désespéré ni épuisé face à ses ennemis, et que ce ne sera pas non plus le cas dans l'avenir.
Le Guide de la Révolution a également cité le récent désaccord politique entre les autorités américaines qui a entraîné l'arrêt des activités gouvernementales aux États-Unis pendant 16 jours, ainsi que les graves problèmes économiques, le grand déficit budgétaire américain et la discorde entre les États-Unis et l'Union Européenne sur les grandes questions d'intérêt tels que l'intervention militaire en Syrie.
« C'est la situation que connaît le front qui s'oppose à l'Iran. Tandis qu'aujourd'hui, les Iraniens sont vigilants, forts et avancés, et que notre situation n'est pas comparable avec ce qu'elle était il y a 20 ou 30 ans. Cependant les ennemis exercent des pressions. Nous devons résister à ces pressions en nous appuyant sur nos capacités nationales », a-t-il fait remarquer.
Le Guide suprême a réaffirmé son soutien aux activités du gouvernement en matière de diplomatie et de négociations. « Cette tentative est probablement une nouvelle expérience et un acte bénéfique. Si elle réussit tant mieux, mais si elle échoue, cela signifiera que nous devons compter sur nous-mêmes dans le traitement des questions », a-t-il affirmé, réitérant ses anciennes recommandations de ne pas faire confiance à l'ennemi qui sourit : «Je recommande aux responsables de ne pas tomber dans le piège diplomatique. Ne vous laissez pas tromper par les sourires de l'ennemi. Observez attentivement et prudemment les déclarations et les actions de l'autre côté. Ils sourient et se montrent accueillants aux négociations et en même temps, ils disent que toutes les options sont sur la table sans révéler honnêtement leurs véritables intentions », a-t-il précisé.
Le Guide suprême a déploré les récentes menaces à l'Iran d'un homme politique américain, disant qu'il devrait recevoir une claque dans la bouche pour avoir appelé Washington à utiliser des armes nucléaires contre l'Iran.
« Si les Américains disent la vérité et s'ils sont sérieux au sujet des négociations, ils doivent frapper ces jaseurs dans la bouche. Un gouvernement (les États-Unis) qui imagine être responsable des questions mondiales et nucléaires, n'a aucunement le droit de proférer des menaces nucléaires contre un autre pays. Aujourd'hui, en raison de l'emprise des capitalistes et des compagnies sionistes sur l'administration et le Congrès des États-Unis, les Américains sont obligés de les prendre en considération mais le peuple iranien n'est pas obligé d'en faire autant. Nous avons dit, dès le premier jour, et le disons encore aujourd'hui, et nous le dirons aussi dans l'avenir, que le régime sioniste est un régime et un enfant illégitime», a souligné le Guide suprême de la Révolution islamique.
À la fin de ses déclarations, le Guide suprême de la Révolution islamique a rappelé au peuple et aux responsables iraniens la nécessité de la prudence et a conclu : « Nous appuierons toutes les mesures prises par les responsables qui sont dans l'intérêt de ce pays et recommandons aux fonctionnaires et en particulier, à la jeune génération, d'ouvrir les yeux, car la vigilance et la perspicacité sont le seul chemin pour parvenir à nos idéaux ».
Il a également espéré que grâce aux bénédictions divines, la jeune génération conduira le pays aux plus hauts sommets grâce à son enthousiasme et son esprit d'innovation.
Au début de son discours, le Guide suprême a abordé les événements historiques du 4 novembre 1964. « L'Envoi de l'Imam Khomeiny en exil à cause de son discours prononcé contre le projet de capitulation qui exemptait les conseillers et les militaires américains d'être jugés par la cour iranienne, le massacre des étudiants par les forces du régime du dictateur soutenu par les USA en 1979, et la répression des étudiants qui mena à la prise de l' ambassade américaine en 1979, sont tous liés aux États-Unis d'une manière ou d'une autre, et c'est pour cette raison que le 4 novembre a été appelé la Journée nationale de lutte contre l'Arrogance mondiale. Avec sa révolution, le peuple iranien a fait face à l'hégémonie américaine et après la victoire la Révolution islamique, a expulsé les arrogants qui se trouvaient à l'intérieur du pays, et contrairement à certains pays, n'a pas laissé inachevé ce mouvement. L'approche hégémonique des États-Unis est à l'origine de la méfiance et de la colère des nations, et l'expérience a montré que tout peuple ou gouvernement qui fait confiance aux États-Unis, reçoit des coups irréparables », a indiqué le Guide suprême affirmant que l'administration américaine est une administration hégémonique qui considère de son droit de s'ingérer dans les affaires intérieures des autres pays.
Le Guide suprême a également souligné certaines questions d'actualité importantes liées aux États-Unis, soutenant l'équipe iranienne qui poursuit les négociations avec les 5+1 (les membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies - la Russie, la Chine, la France, les États-Unis et le Royaume-Uni - plus l'Allemagne) en ces termes : « Ce sont des enfants de la Révolution et les représentants de la Révolution islamique qui sont en train de remplir leur mission. Personne ne doit les affaiblir, les outrager ou les qualifier de collaborateurs. Les négociations avec les 5+1 ne portent que sur le nucléaire. Grâce à Dieu, ces négociations ne nous portent pas préjudice par contre, c'est une expérience pour le peuple iranien qui comme celle de la suspension des activités d'enrichissement d'uranium en 2003 et 2004, a accru la perspicacité et les capacités d'analyse du peuple. »
L'Ayatollah Khamenei a également évoqué ces années d'expérience nationale et déclaré « Il y a dix ans, lors des négociations avec les Européens, nous avons accepté une suspension temporaire qui en réalité, nous a été imposée avec des concessions évidentes. Toutefois, après deux ans de suspension, nous sommes tous arrivés à la conclusion que cette coopération de notre part, ne donnait aucun espoir d'une coopération du côté occidental ».
« Si nous n'avions pas agi de sorte, il était possible que certains disent que si l'Iran avait cédé une fois au moins, les problèmes auraient été résolus et les Occidentaux se seraient réconciliés avec notre programme nucléaire, mais la suspension temporaire a révélé à tout le monde, que nos partenaires étaient à la recherche d'autres objectifs. Par conséquent, nous avons repris le programme et progressé dans ce domaine », a-t-il ajouté.
Le Guide suprême a estimé que la position nucléaire de l'Iran différait radicalement de celle de la décennie précédente et a accordé un appui sérieux et solide aux responsables des négociations avec les États-Unis, soulignant toutefois qu'il n'était pas optimiste au sujet des récents pourparlers car il n'est pas clair qu'ils garantissaient que les objectifs de la nation iranienne soient atteints. « Nous croyons pourtant que cette expérience ne pose pas de problèmes à condition que notre nation soit attentive et comprenne ce qui se passe réellement ».
Le Guide suprême a reproché à certains éléments « leur propagande naïve ou tendancieuse » et a ajouté que « certains s'alignent sur les médias étrangers, tentent de tromper le public et de faire croire que si nous acceptons certains compromis dans la question nucléaire, tous les problèmes économiques et d'autres problèmes seront résolus ».
Pour prouver la fausseté de cette idée, le Guide suprême a demandé : «Est-ce que la question nucléaire existait au début de la Révolution, quand les États-Unis ont lancé leur programme de sanctions contre l'Iran ? Quand ils ont abattu notre avion avec ses 290 passagers au-dessus du Golfe Persique, était-ce à cause de la question nucléaire ? Quand ils ont lancé un coup d'État dans la base militaire de Nojeh, avaient-ils la question nucléaire comme prétexte ? Et quand ils ont politiquement et logistiquement soutenu les groupuscules d'opposition après la victoire de la Révolution, était-il question des activités nucléaires de l'Iran ? »
Le Guide suprême a signalé que les réponses à toutes ces questions étaient négatives. « La question nucléaire n'est rien de plus qu'un prétexte et si l'on suppose qu'un jour, le problème serait résolu grâce à nos concessions, ils trouveraient d'autres prétextes pour reprendre leurs hostilités comme la technologie des missiles, l'hostilité de l'Iran au régime sioniste et son soutien au front de la Résistance. L'hostilité américaine envers l'Iran vient du fait que la République islamique a rejeté leurs demandes et que nous croyions que les États-Unis ne peuvent rien faire contre nous. Les États-Unis sont opposés à l'existence de la République islamique d'Iran et à l'influence, au prestige et à la puissance du gouvernement démocratiquement élu en Iran. Comme l'a explicitement indiqué un de leurs hommes politiques récemment, l'Iran, qu'il soit atomique ou pas, est une menace car il est influent et puissant, et selon leurs propres termes, jouit d'une autorité dans la région», a-t-il dit.
Le Guide suprême a soutenu que la question nucléaire était un prétexte et que les États-Unis ne mettraient fin à leur hostilité envers l'Iran que lorsque la nation iranienne deviendra une nation isolée, discréditée et déshonorée.
Dans une autre partie de son discours, l'Ayatollah Khamenei a attiré l'attention du peuple et des responsables sur le fait que depuis la Révolution, l'Iran ne s'est jamais senti désespéré ni épuisé face à ses ennemis, et que ce ne sera pas non plus le cas dans l'avenir.
Le Guide de la Révolution a également cité le récent désaccord politique entre les autorités américaines qui a entraîné l'arrêt des activités gouvernementales aux États-Unis pendant 16 jours, ainsi que les graves problèmes économiques, le grand déficit budgétaire américain et la discorde entre les États-Unis et l'Union Européenne sur les grandes questions d'intérêt tels que l'intervention militaire en Syrie.
« C'est la situation que connaît le front qui s'oppose à l'Iran. Tandis qu'aujourd'hui, les Iraniens sont vigilants, forts et avancés, et que notre situation n'est pas comparable avec ce qu'elle était il y a 20 ou 30 ans. Cependant les ennemis exercent des pressions. Nous devons résister à ces pressions en nous appuyant sur nos capacités nationales », a-t-il fait remarquer.
Le Guide suprême a réaffirmé son soutien aux activités du gouvernement en matière de diplomatie et de négociations. « Cette tentative est probablement une nouvelle expérience et un acte bénéfique. Si elle réussit tant mieux, mais si elle échoue, cela signifiera que nous devons compter sur nous-mêmes dans le traitement des questions », a-t-il affirmé, réitérant ses anciennes recommandations de ne pas faire confiance à l'ennemi qui sourit : «Je recommande aux responsables de ne pas tomber dans le piège diplomatique. Ne vous laissez pas tromper par les sourires de l'ennemi. Observez attentivement et prudemment les déclarations et les actions de l'autre côté. Ils sourient et se montrent accueillants aux négociations et en même temps, ils disent que toutes les options sont sur la table sans révéler honnêtement leurs véritables intentions », a-t-il précisé.
Le Guide suprême a déploré les récentes menaces à l'Iran d'un homme politique américain, disant qu'il devrait recevoir une claque dans la bouche pour avoir appelé Washington à utiliser des armes nucléaires contre l'Iran.
« Si les Américains disent la vérité et s'ils sont sérieux au sujet des négociations, ils doivent frapper ces jaseurs dans la bouche. Un gouvernement (les États-Unis) qui imagine être responsable des questions mondiales et nucléaires, n'a aucunement le droit de proférer des menaces nucléaires contre un autre pays. Aujourd'hui, en raison de l'emprise des capitalistes et des compagnies sionistes sur l'administration et le Congrès des États-Unis, les Américains sont obligés de les prendre en considération mais le peuple iranien n'est pas obligé d'en faire autant. Nous avons dit, dès le premier jour, et le disons encore aujourd'hui, et nous le dirons aussi dans l'avenir, que le régime sioniste est un régime et un enfant illégitime», a souligné le Guide suprême de la Révolution islamique.
À la fin de ses déclarations, le Guide suprême de la Révolution islamique a rappelé au peuple et aux responsables iraniens la nécessité de la prudence et a conclu : « Nous appuierons toutes les mesures prises par les responsables qui sont dans l'intérêt de ce pays et recommandons aux fonctionnaires et en particulier, à la jeune génération, d'ouvrir les yeux, car la vigilance et la perspicacité sont le seul chemin pour parvenir à nos idéaux ».
Il a également espéré que grâce aux bénédictions divines, la jeune génération conduira le pays aux plus hauts sommets grâce à son enthousiasme et son esprit d'innovation.