« Les jeunes élites sont les architectes des progrès du pays et les bâtisseurs du futur », a affirmé le Guide suprême de la Révolution islamique, l'Ayatollah Khamenei, lors d'une audience accordée le 8 octobre 2013, à un millier de jeunes universitaires iraniens, réunis à Téhéran pour participer au septième Congrès national des jeunes élites.
«L'intelligentsia iranienne est arrivée à la conclusion que si le règlement des difficultés a besoin d'un nombre de facteurs fondamentaux, le progrès scientifique en est un des principaux. Le talent des élites en Iran a un tel niveau que tous les objectifs scientifiques et technologiques dans les infrastructures du pays, sont réalisables et les jeunes élites iraniennes sont capables de conduire le pays et le peuple au summum du progrès dans tous les domaines », a-t-il fait remarquer.
Son Éminence a ajouté que le progrès scientifiques accéléré était la politique fondamentale de la République islamique d'Iran car le progrès scientifique est indispensable pour dépasser les problèmes et les dangers. Le Guide suprême a également insisté sur la nécessité d'une production scientifique autochtone notant que bien entendu, ce progrès doit jaillir de l'intérieur et se fonder sur nos propres talents.
S'adressant aux jeunes élites, à tous les responsables et au peuple, le Guide suprême a précisé que le principal objectif du front des ennemis était d'empêcher l'Iran de devenir une puissance scientifique et technologique.
L'Ayatollah Khamenei a ensuite rappelé qu'il fallait avoir un regard réaliste et exhaustif dans l'analyse des événements et des questions politiques et économiques de la région et du monde, qui montre qu'il existe un front très puissant dans le monde, qui ne veut pas que l'Iran islamique devienne un pays puissant notamment au niveau scientifique et technologique.
Faisant allusion aux articles de certains penseurs et intellectuels américains et occidentaux aux premières années après la victoire de la Révolution islamique, le Guide suprême a déclaré : « Ces articles mettaient en garde l'appareil politique occidental sur le fait que la Révolution islamique n'était pas seulement un changement de gouvernement mais que sa victoire permettrait l'émergence d'une nouvelle puissance en Asie de l'Ouest, qui pourrait émanciper cette région hautement névralgique et riche, de la domination occidentale ou du moins, mettre en danger son emprise et lancer un défi au monde occidental en matières technologiques et scientifiques. Après trente ans, le cauchemar des États-Unis et des Occidentaux est devenu une réalité et une grande puissance nationale et régionale a vu le jour sans que les pressions politiques, économiques, sécuritaires et médiatiques ne parviennent à lui faire plier l'échine. Cette puissance a aussi influencé les nations de la région et rendu aux musulmans leur identité ».
Faisant ensuite allusion aux événements importants qui ont eu lieu ces deux dernières années au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, et à la réaction des États-Unis et des Occidentaux, le leader de la Révolution a déclaré : « La prise de conscience des peuples musulmans qui se sont dressés les mains nues, devant l'arrogance de l'Occident et des États-Unis, est un grand événement qui contrairement à ce que s'imaginent les occidentaux, n'est pas terminé. Ces événements représentent un tournant historique de la région dont l'avenir n'est pas encore déterminé et c'est justement ce qui inquiète les Occidentaux. Ces événements s'inspirent de la Révolution islamique qui dès le début a apporté la bonne nouvelle de l'émergence d'une puissance nationale, ancrée, solide, durable, en plein essor et en pleine croissance. »
Dans une autre partie de son discours, le Guide suprême a ajouté : « Pour remplir sa mission historique, l'Iran islamique doit connaître un progrès rapide dans le domaine scientifique. Cela exige un effort de la part de l'association des élites scientifiques qui dépend du comité scientifique de la Présidence. Les nouveaux responsables qui ont été nommés doivent tenir compte des travaux qui ont été faits, combler les lacunes et encourager les Iraniens qui vivent à l'étranger à venir en Iran pour contribuer au progrès scientifique croissant du pays ».
Le Guide suprême a ajouté que la vitesse du progrès scientifiques était bonne mais que cela ne signifiait pas que le pays avait atteint son but car d'une part, il y a encore beaucoup de retards et beaucoup de lacunes, et d'autre part, les autres pays, eux aussi, continuent à avancer.
« Nous devons arriver à nous mettre aux premières places et devenir en 40 ou 50 ans, une référence scientifique dans le monde. Il faut qu'un jour, les scientifiques soient obligés d'apprendre le persan pour accéder aux nouvelles recherches » a-t-il précisé.
Le Guide suprême a mis l'accent sur la relation entre les universités et les secteurs industriels soulignant : « Il faut renforcer les relations entre les centres scientifiques et les centres de production. Ce n'est que de cette manière que nous atteindrons un progrès véritable dans le domaine scientifique et technologique».
Au début de cette réunion, les représentants de différentes associations estudiantines ont exprimé leurs points de vue et leurs propositions aux sujets des questions universitaires et relatives aux centres de recherche. Ils ont également mis l'accent sur la nécessité de changer les systèmes et les programmes scolaires, et de créer des banques de données et des centres spécialisés pour les chercheurs.
«L'intelligentsia iranienne est arrivée à la conclusion que si le règlement des difficultés a besoin d'un nombre de facteurs fondamentaux, le progrès scientifique en est un des principaux. Le talent des élites en Iran a un tel niveau que tous les objectifs scientifiques et technologiques dans les infrastructures du pays, sont réalisables et les jeunes élites iraniennes sont capables de conduire le pays et le peuple au summum du progrès dans tous les domaines », a-t-il fait remarquer.
Son Éminence a ajouté que le progrès scientifiques accéléré était la politique fondamentale de la République islamique d'Iran car le progrès scientifique est indispensable pour dépasser les problèmes et les dangers. Le Guide suprême a également insisté sur la nécessité d'une production scientifique autochtone notant que bien entendu, ce progrès doit jaillir de l'intérieur et se fonder sur nos propres talents.
S'adressant aux jeunes élites, à tous les responsables et au peuple, le Guide suprême a précisé que le principal objectif du front des ennemis était d'empêcher l'Iran de devenir une puissance scientifique et technologique.
L'Ayatollah Khamenei a ensuite rappelé qu'il fallait avoir un regard réaliste et exhaustif dans l'analyse des événements et des questions politiques et économiques de la région et du monde, qui montre qu'il existe un front très puissant dans le monde, qui ne veut pas que l'Iran islamique devienne un pays puissant notamment au niveau scientifique et technologique.
Faisant allusion aux articles de certains penseurs et intellectuels américains et occidentaux aux premières années après la victoire de la Révolution islamique, le Guide suprême a déclaré : « Ces articles mettaient en garde l'appareil politique occidental sur le fait que la Révolution islamique n'était pas seulement un changement de gouvernement mais que sa victoire permettrait l'émergence d'une nouvelle puissance en Asie de l'Ouest, qui pourrait émanciper cette région hautement névralgique et riche, de la domination occidentale ou du moins, mettre en danger son emprise et lancer un défi au monde occidental en matières technologiques et scientifiques. Après trente ans, le cauchemar des États-Unis et des Occidentaux est devenu une réalité et une grande puissance nationale et régionale a vu le jour sans que les pressions politiques, économiques, sécuritaires et médiatiques ne parviennent à lui faire plier l'échine. Cette puissance a aussi influencé les nations de la région et rendu aux musulmans leur identité ».
Faisant ensuite allusion aux événements importants qui ont eu lieu ces deux dernières années au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, et à la réaction des États-Unis et des Occidentaux, le leader de la Révolution a déclaré : « La prise de conscience des peuples musulmans qui se sont dressés les mains nues, devant l'arrogance de l'Occident et des États-Unis, est un grand événement qui contrairement à ce que s'imaginent les occidentaux, n'est pas terminé. Ces événements représentent un tournant historique de la région dont l'avenir n'est pas encore déterminé et c'est justement ce qui inquiète les Occidentaux. Ces événements s'inspirent de la Révolution islamique qui dès le début a apporté la bonne nouvelle de l'émergence d'une puissance nationale, ancrée, solide, durable, en plein essor et en pleine croissance. »
Dans une autre partie de son discours, le Guide suprême a ajouté : « Pour remplir sa mission historique, l'Iran islamique doit connaître un progrès rapide dans le domaine scientifique. Cela exige un effort de la part de l'association des élites scientifiques qui dépend du comité scientifique de la Présidence. Les nouveaux responsables qui ont été nommés doivent tenir compte des travaux qui ont été faits, combler les lacunes et encourager les Iraniens qui vivent à l'étranger à venir en Iran pour contribuer au progrès scientifique croissant du pays ».
Le Guide suprême a ajouté que la vitesse du progrès scientifiques était bonne mais que cela ne signifiait pas que le pays avait atteint son but car d'une part, il y a encore beaucoup de retards et beaucoup de lacunes, et d'autre part, les autres pays, eux aussi, continuent à avancer.
« Nous devons arriver à nous mettre aux premières places et devenir en 40 ou 50 ans, une référence scientifique dans le monde. Il faut qu'un jour, les scientifiques soient obligés d'apprendre le persan pour accéder aux nouvelles recherches » a-t-il précisé.
Le Guide suprême a mis l'accent sur la relation entre les universités et les secteurs industriels soulignant : « Il faut renforcer les relations entre les centres scientifiques et les centres de production. Ce n'est que de cette manière que nous atteindrons un progrès véritable dans le domaine scientifique et technologique».
Au début de cette réunion, les représentants de différentes associations estudiantines ont exprimé leurs points de vue et leurs propositions aux sujets des questions universitaires et relatives aux centres de recherche. Ils ont également mis l'accent sur la nécessité de changer les systèmes et les programmes scolaires, et de créer des banques de données et des centres spécialisés pour les chercheurs.