L'Ayatollah Khamenei a déclaré que d'éventuelles ingérences américaines en Syrie seraient une catastrophe pour la région et que toute tentative pour semer des conflits sera au dépend de ceux qui cherchent à semer des troubles.
Mercredi 28 aout 2013, marquant la cinquième journée de la semaine du Gouvernement en Iran, le Guide suprême de la Révolution islamique, l'Ayatollah Khamenei, a reçu en audience le Président Hassan Rohani et les membres de son cabinet. Lors de cette réunion, le Guide suprême de la Révolution islamique a brossé un tableau des évolutions en Iran et au Moyen-Orient, et a mis en garde contre les ingérences des États-Unis en Syrie.
L'Ayatollah Khamenei a remercié les membres du 11ème gouvernement pour leur coopération avec le parlement, ainsi que le nouveau Président pour son travail actif dans la formation rapide du nouveau cabinet. Il a présenté ses félicitations à l'occasion de la semaine du gouvernement et de l'anniversaire du martyre de Rajaï et de Bahonar, et a demandé au nouveau gouvernement de donner la priorité à la science et à l'économie, pour freiner l'inflation, assurer les besoins essentiels des gens, encourager la production et renforcer la confiance en l'avenir.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a déclaré qu'Hassan Rohani était un Président digne de confiance vu ses antécédents et ses prises de positions appropriées pendant les trois décennies de la Révolution islamique.
« Les gens ont senti la réalité des promesses divines lors de la Révolution et la Défense sacrée. La confiance en Dieu et un regard juste sur les affaires sont le secret de la réussite avec le service rendu à la nation qui doit être la préoccupation principale du gouvernement », a-t-il rappelé.
L'Ayatollah Khamenei a souligné l'importance du recours aux spécialistes dans tous les domaines « car il est très difficile de réparer des fautes dans le travail ou les discours », a-t-il déclaré.
L'Ayatollah Khamenei a aussi insisté sur la justice et la lutte contre la corruption, et a déclaré que le modèle occidental conduisait à de grands écarts sociaux et était à l'origine d'un mécontentement dans la société.
L'Ayatollah Khamenei a fait remarquer aux nouveaux ministres que les goûts et les avis différents au niveau politique, social et économique étaient des choses secondaires, leur conseillant d'agir en sorte que leur ministère ne soit pas touché par le gaspillage et la corruption, et n'ait pas besoin de l'intervention de système de contrôle.
« Malheureusement, la présence de quelques éléments corrompus risque de semer le doute sur les activités générales », a-t-il déclaré aux nouveaux responsables.
Il a ensuite ajouté : « La loi doit être le rail du gouvernement pour éviter des dommages à la nation. Il est plus néfaste de ne pas respecter des lois incomplètes que de les respecter. Il faut aussi respecter les décisions du Haut conseil culturel et les décisions qui ont été prises dans le domaine virtuel, et de remettre en route les réformes du système administratif. Tous les problèmes peuvent être résolus grâce aux possibilités qui existent à l'intérieur du pays. Il n'est pas nécessaire de faire confiance aux pays étrangers et aux ennemis dont il est difficile d'attendre des signes d'amitié. Ces activités économiques font partie de l'épopée économique dont nous avons parlé au début de l'année. Il faut aussi travailler dans le sens de l'économie de résistance qui n'est pas une politique d'austérité mais une économie capable de résister aux crises et aux fluctuations internationales, et compléter la chaine de production scientifique et de production industrielle ».
Dans une autre partie de ses propos, évoquant de la situation critique de la région, l'Ayatollah Khamenei s'est penché sur les évolutions en cours en Égypte et a souligné que l'Iran ne souhaitait nullement s'ingérer dans les affaires intérieures égyptiennes mais qu'il ne pouvait non plus rester indifférent au massacre des civils en Égypte.
« La République islamique d'Iran dénonce haut et fort ceux qui se trouvent derrière le massacre du peuple révolutionnaire d'Égypte », a affirmé le Leader de la Révolution islamique.
« Il faut à tout prix éviter une guerre civile dans ce pays car ce serait une catastrophe pour l'Égypte, pour toute la région et pour le monde de l'islam. Les Égyptiens après des années de dictature et grâce à leur éveil islamique, ont organisé des élections démocratiques et il n'est pas possible de revenir en arrière », a-t-il précisé en invitant les Égyptiens à retourner à la démocratie et à la voix du peuple.
Le Guide suprême a ensuite qualifié de « catastrophique » une ingérence militaire des États-Unis en Syrie. « Au cas où les États-Unis attaqueraient la Syrie, ils subiraient de grandes préjudices comme cela a été le cas en Irak et en Afghanistan », a-t-il déclaré.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a rappelé que la Syrie était une poudrière et que les États-Unis subiraient des préjudices irréparables s'ils intervenaient dans ce pays.
« Ces ingérences ne conduisent qu'à des conflits et augmenteront la haine des peuples envers les pays du front de l'arrogance», a-t-il conclu.
Mercredi 28 aout 2013, marquant la cinquième journée de la semaine du Gouvernement en Iran, le Guide suprême de la Révolution islamique, l'Ayatollah Khamenei, a reçu en audience le Président Hassan Rohani et les membres de son cabinet. Lors de cette réunion, le Guide suprême de la Révolution islamique a brossé un tableau des évolutions en Iran et au Moyen-Orient, et a mis en garde contre les ingérences des États-Unis en Syrie.
L'Ayatollah Khamenei a remercié les membres du 11ème gouvernement pour leur coopération avec le parlement, ainsi que le nouveau Président pour son travail actif dans la formation rapide du nouveau cabinet. Il a présenté ses félicitations à l'occasion de la semaine du gouvernement et de l'anniversaire du martyre de Rajaï et de Bahonar, et a demandé au nouveau gouvernement de donner la priorité à la science et à l'économie, pour freiner l'inflation, assurer les besoins essentiels des gens, encourager la production et renforcer la confiance en l'avenir.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a déclaré qu'Hassan Rohani était un Président digne de confiance vu ses antécédents et ses prises de positions appropriées pendant les trois décennies de la Révolution islamique.
« Les gens ont senti la réalité des promesses divines lors de la Révolution et la Défense sacrée. La confiance en Dieu et un regard juste sur les affaires sont le secret de la réussite avec le service rendu à la nation qui doit être la préoccupation principale du gouvernement », a-t-il rappelé.
L'Ayatollah Khamenei a souligné l'importance du recours aux spécialistes dans tous les domaines « car il est très difficile de réparer des fautes dans le travail ou les discours », a-t-il déclaré.
L'Ayatollah Khamenei a aussi insisté sur la justice et la lutte contre la corruption, et a déclaré que le modèle occidental conduisait à de grands écarts sociaux et était à l'origine d'un mécontentement dans la société.
L'Ayatollah Khamenei a fait remarquer aux nouveaux ministres que les goûts et les avis différents au niveau politique, social et économique étaient des choses secondaires, leur conseillant d'agir en sorte que leur ministère ne soit pas touché par le gaspillage et la corruption, et n'ait pas besoin de l'intervention de système de contrôle.
« Malheureusement, la présence de quelques éléments corrompus risque de semer le doute sur les activités générales », a-t-il déclaré aux nouveaux responsables.
Il a ensuite ajouté : « La loi doit être le rail du gouvernement pour éviter des dommages à la nation. Il est plus néfaste de ne pas respecter des lois incomplètes que de les respecter. Il faut aussi respecter les décisions du Haut conseil culturel et les décisions qui ont été prises dans le domaine virtuel, et de remettre en route les réformes du système administratif. Tous les problèmes peuvent être résolus grâce aux possibilités qui existent à l'intérieur du pays. Il n'est pas nécessaire de faire confiance aux pays étrangers et aux ennemis dont il est difficile d'attendre des signes d'amitié. Ces activités économiques font partie de l'épopée économique dont nous avons parlé au début de l'année. Il faut aussi travailler dans le sens de l'économie de résistance qui n'est pas une politique d'austérité mais une économie capable de résister aux crises et aux fluctuations internationales, et compléter la chaine de production scientifique et de production industrielle ».
Dans une autre partie de ses propos, évoquant de la situation critique de la région, l'Ayatollah Khamenei s'est penché sur les évolutions en cours en Égypte et a souligné que l'Iran ne souhaitait nullement s'ingérer dans les affaires intérieures égyptiennes mais qu'il ne pouvait non plus rester indifférent au massacre des civils en Égypte.
« La République islamique d'Iran dénonce haut et fort ceux qui se trouvent derrière le massacre du peuple révolutionnaire d'Égypte », a affirmé le Leader de la Révolution islamique.
« Il faut à tout prix éviter une guerre civile dans ce pays car ce serait une catastrophe pour l'Égypte, pour toute la région et pour le monde de l'islam. Les Égyptiens après des années de dictature et grâce à leur éveil islamique, ont organisé des élections démocratiques et il n'est pas possible de revenir en arrière », a-t-il précisé en invitant les Égyptiens à retourner à la démocratie et à la voix du peuple.
Le Guide suprême a ensuite qualifié de « catastrophique » une ingérence militaire des États-Unis en Syrie. « Au cas où les États-Unis attaqueraient la Syrie, ils subiraient de grandes préjudices comme cela a été le cas en Irak et en Afghanistan », a-t-il déclaré.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a rappelé que la Syrie était une poudrière et que les États-Unis subiraient des préjudices irréparables s'ils intervenaient dans ce pays.
« Ces ingérences ne conduisent qu'à des conflits et augmenteront la haine des peuples envers les pays du front de l'arrogance», a-t-il conclu.