Le Guide suprême de la Révolution islamique a présenté ses félicitations à l'occasion de la fête de Fitr à la grande nation iranienne et aux musulmans du monde entier, et a prié pour que Dieu aide tous les musulmans du monde à préserver les bienfaits des efforts du mois béni du Ramadan.
Ce vendredi à Téhéran, dans les sermons de la prière de la fête de Fitr, l'Ayatollah Khamenei a affirmé que la présence grandiose du peuple iranien aux manifestations de la Journée mondiale de Qods faisait partie des efforts assidus de ce mois béni et a déclaré : «On ne peut évaluer d'aucune manière, l'importance des manifestations de la journée de Qods. Dans cette manifestation générale, le peuple iranien a fait preuve de vitalité et de résistance surtout au sujet des questions importantes du monde et de l'Histoire de l'islam».
Dans le second sermon de la prière de l'Eid-ul-Fitr, l'Ayatollah Khamenei a évoqué les questions d'ordre social, politique et économique, et a exprimé ses inquiétudes au sujet des événements survenus dans les pays d'Afrique du Nord et d'Asie occidentale.
« Contrairement aux heureux événements qui se produisent en Iran, les évolutions dans la région islamique sont très inquiétantes », a-t-il précisé.
Faisant allusion à la formation d'un nouveau gouvernement en Iran, il a ajouté : « Dieu merci, grâce à la nation et de nombreux efforts, des élections légales et cette tradition nationale se sont déroulées de la meilleure manière».
Faisant allusion à l'oppression dont est victime le peuple palestinien de la part des sionistes, le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné qu'un des malheurs du monde actuel était l'appui de prétendus « avocats de la démocratie et des droits de l'Homme » aux crimes flagrants du régime des occupants sionistes.
En se référant à la reprise des négociations entre l'Autorité autonome palestinienne et les sionistes, l'Ayatollah Khamenei a affirmé que ces négociations comme les précédentes, n'auront aucun autre résultat que d'encourager l'agresseur à intensifier sa répression et son comportement criminel, et à bafouer davantage les droits des Palestiniens.
Le Guide suprême de la Révolution islamique s'est aussi déclaré inquiet sur la situation en Égypte et a déclaré que l'éventualité d'une guerre civile s'était renforcée dans ce pays. «Cela est une véritable catastrophe», a-t-il précisé. Il a en plus appelé la grande nation, les différents groupes et l'élite politique et les oulémas égyptiens à méditer sur les retombées dangereuses qui pourraient résulter de la situation actuelle.
« La situation en Syrie, les conséquences très dangereuses de la guerre civile et les tristes retombées de la présence des terroristes et des sbires d'Israël et des États-Unis dans différentes régions du monde de l'Islam, n'auraient-elles rien à apprendre aux Égyptiens ? », A-t-il déploré.
L'Ayatollah Khamenei a vivement condamné le massacre du peuple en Égypte et ajouté que le langage dur que les différents groupes en Égypte utilisent les uns contre les autres, est absolument inefficace.
« Si une guerre civile se déclenche dans ce pays, un prétexte sera fourni aux puissances étrangères pour s'y ingérer, ce qui exposera le peuple égyptien à un grand malheur», a-t-il dit.
Évoquant la nécessité et l'importance de la démocratie, l'Ayatollah Khamenei a souligné que c'est le peuple, les groupes politiques et religieux, les élites et les oulémas égyptiens qui doivent régler le problème dont nous sommes témoins actuellement dans ce pays, sans permettre les ingérences étrangères.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a également déploré la situation en Irak et fait remarquer : « En Irak, un gouvernement élu et issu du vote populaire dirige le pays mais les puissances arrogantes et les rétrogrades de la région ne sont pas contents de cette situation. Les meurtres, le massacre du peuple et d'autres tristes événements qui se produisent en Irak se font sans aucun doute, avec l'appui politique et financier de certains pays de la région ou de l'étranger qui ne veulent pas que l'Irak retrouve le calme et la prospérité et ne souhaitent pas voir la sécurité et la stabilité s'instaurer dans ce pays. Ils tentent donc de l'insécuriser et de détruire ses infrastructures en déclenchant une guerre civile. »
Ce vendredi à Téhéran, dans les sermons de la prière de la fête de Fitr, l'Ayatollah Khamenei a affirmé que la présence grandiose du peuple iranien aux manifestations de la Journée mondiale de Qods faisait partie des efforts assidus de ce mois béni et a déclaré : «On ne peut évaluer d'aucune manière, l'importance des manifestations de la journée de Qods. Dans cette manifestation générale, le peuple iranien a fait preuve de vitalité et de résistance surtout au sujet des questions importantes du monde et de l'Histoire de l'islam».
Dans le second sermon de la prière de l'Eid-ul-Fitr, l'Ayatollah Khamenei a évoqué les questions d'ordre social, politique et économique, et a exprimé ses inquiétudes au sujet des événements survenus dans les pays d'Afrique du Nord et d'Asie occidentale.
« Contrairement aux heureux événements qui se produisent en Iran, les évolutions dans la région islamique sont très inquiétantes », a-t-il précisé.
Faisant allusion à la formation d'un nouveau gouvernement en Iran, il a ajouté : « Dieu merci, grâce à la nation et de nombreux efforts, des élections légales et cette tradition nationale se sont déroulées de la meilleure manière».
Faisant allusion à l'oppression dont est victime le peuple palestinien de la part des sionistes, le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné qu'un des malheurs du monde actuel était l'appui de prétendus « avocats de la démocratie et des droits de l'Homme » aux crimes flagrants du régime des occupants sionistes.
En se référant à la reprise des négociations entre l'Autorité autonome palestinienne et les sionistes, l'Ayatollah Khamenei a affirmé que ces négociations comme les précédentes, n'auront aucun autre résultat que d'encourager l'agresseur à intensifier sa répression et son comportement criminel, et à bafouer davantage les droits des Palestiniens.
Le Guide suprême de la Révolution islamique s'est aussi déclaré inquiet sur la situation en Égypte et a déclaré que l'éventualité d'une guerre civile s'était renforcée dans ce pays. «Cela est une véritable catastrophe», a-t-il précisé. Il a en plus appelé la grande nation, les différents groupes et l'élite politique et les oulémas égyptiens à méditer sur les retombées dangereuses qui pourraient résulter de la situation actuelle.
« La situation en Syrie, les conséquences très dangereuses de la guerre civile et les tristes retombées de la présence des terroristes et des sbires d'Israël et des États-Unis dans différentes régions du monde de l'Islam, n'auraient-elles rien à apprendre aux Égyptiens ? », A-t-il déploré.
L'Ayatollah Khamenei a vivement condamné le massacre du peuple en Égypte et ajouté que le langage dur que les différents groupes en Égypte utilisent les uns contre les autres, est absolument inefficace.
« Si une guerre civile se déclenche dans ce pays, un prétexte sera fourni aux puissances étrangères pour s'y ingérer, ce qui exposera le peuple égyptien à un grand malheur», a-t-il dit.
Évoquant la nécessité et l'importance de la démocratie, l'Ayatollah Khamenei a souligné que c'est le peuple, les groupes politiques et religieux, les élites et les oulémas égyptiens qui doivent régler le problème dont nous sommes témoins actuellement dans ce pays, sans permettre les ingérences étrangères.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a également déploré la situation en Irak et fait remarquer : « En Irak, un gouvernement élu et issu du vote populaire dirige le pays mais les puissances arrogantes et les rétrogrades de la région ne sont pas contents de cette situation. Les meurtres, le massacre du peuple et d'autres tristes événements qui se produisent en Irak se font sans aucun doute, avec l'appui politique et financier de certains pays de la région ou de l'étranger qui ne veulent pas que l'Irak retrouve le calme et la prospérité et ne souhaitent pas voir la sécurité et la stabilité s'instaurer dans ce pays. Ils tentent donc de l'insécuriser et de détruire ses infrastructures en déclenchant une guerre civile. »